RENDEZ-VOUS D'AFFAIRE? | ENZO CRUZ

Bip Bip Bip

Le réveil de Lena sonna à l’aube, il affichait cinq heure trente du matin et les premiers rayon du soleil transperçait les rideaux de la chambre de la jeune femme. Elle bailla et s’étira, se disant qu’elle aimerait bien rester au lit encore une petite heure, elle calla sa tête dans son oreiller de plumes puis soupira avant de se lever d’un bond comme pour se motiver, elle ouvrit les rideaux et prit le temps de regarder à l’extérieur le lever du soleil, elle afficha un sourire. Elle alla jusqu’à la salle de bain pour prendre une longue douche, n’ayant pas trop le temps de faire son jogging matinal, ce qui était très rare. Elle sortie de la douche et enfila un peignoir de couleur Aqua et descendit au premier étage. Elle vivait seule dans cette immense maison et parfois, elle se disait qu’elle aimerait avec un copain et plus tard des enfants qui courraient partout et à qui elle pourrait faire partager ses talents culinaires, que lui avait appris sa mère qui était Chef au Ritz. Mais tout ça, c’était les rêves de Lena et non la réalité et il fallait qu’elle s’y fasse. Elle alla prendre un bol de fruits frais avant de remonter au premier, de s’habiller, se maquiller et se coiffer. Elle partie pour le boulot vers les 6h15. Elle arrêta s’acheter un café, bien que son assistante pourrais le faire, la jeune femme préférait le faire elle-même.

Elle arrêta donc dans un café et pris un très grand Moka avec garnitures, elle aimait bien le mélange du café et du lait au chocolat. Bien sur, ce n’est pas ça qui la réveillerait mais elle prendrais un café plus fort à son bureau. Elle repris le chemin vis-à-vis les bureau de Nazario’Kostas au centre ville, tout en écoutant de la musique plutôt mouvementée pour cette heure si tardive, c’était sa manière à elle de se réveiller. Elle arriva dans le stationnement de la compagnie et se stationna dans le parking réservé à son nom. Elle marcha jusqu’à l’entrée et pris l’ascenseur se rendant au dernier étage. Quand les portes s’ouvrit, les assistantes de Lena vint prendre sa mallette et sa veste. Elle portait une jupe à taille haute, très à la mode et une chemise dans les tons de bleu mauve, qui lui donnait un teint très sain. Elle avait des escarpins agencés à sa tenue et les cheveux semi bouclés, avec un eu de maquillage, mais tout était naturel.

Elle passa l’avant midi enfermée dans son bureau, bien que les fenêtre de son bureau laissaient passé la lumière, elle aurait bien aimer pouvoir les ouvrir, aulieu de n’avoir que l’air climatisé.. L’heure du lunch arrvait, mais Lena avait trop de boulot pour s’arrêter alors elle ne mangea qu’une pomme et un verre d’eau jusqu’à ce qu’elle ait le temps d’arrêter. La voix de son assistante resonna dans l’interphone;

Mme Kostos, il y a un jeune homme qui désire vous voir.

Lena soupira et appuya sur le bouton, pour que seul son assistante l’enttende dans son casque-micro d’écoute

Nasta, dites lui que je ne suis pas libre et de prendre rendez-vous je vous prit.

La jeune secrétaire lui dit que le jeune homme insista, et qu’il ne voulait pas se nommer, elle fini donc par accepté

Faites le entrée alors.

E

nzo Javier Cruz ouvrit péniblement les yeux, confortablement lové dans les couvertures de plume dans son large lit à baldaquin. Dix ans plus tôt, il n'aurait jamais pu même imaginer pouvoir un jour passer une seule minute dans un lit aussi spacieux, mais c'était désormais devenu commodité, ou presque. Bon, il serait un peu vantard de dire qu'il avait l'habitude de voyager dans des endroits aussi luxueux que l'Ile Santorini, en Grèce. C'était son premier voyage depuis son immigration aux États-Unis depuis son Espagne natale. Il n'y avait plus mis les pieds depuis presque une décennie, et il en avait presque oublié les visages des membres de sa famille. Le jeune homme s'étira royalement, puis se découvrit pour sentir une brise légère le caresser doucement. Habillé d'un simple bas de pyjama, Enzo bâilla sans la moindre retenue, et prit ensuite la direction de la douche. Rien de tel pour réveiller l'Espagnol.

Le camé laissa l'eau frapper contre son torse et y mis même la tête, laissant le jet masser sa nuque. Les mains contre le mur, il sourit doucement pour lui même. Enzo Cruz, en Grèce. C'était assez amusant, en fin de compte. On lui avait d'abord montrer des réticences à le laisser prendre quelques temps pour lui, le commentateur sportif n'en avait pas l'habitude, mais on avait vu d'un bon oeil par la suite de la voir publicisé ce merveilleux hôtel aménagé à grands frais. Il avait même eu l'occasion, dès le premier jour de son arrivée, de faire un saut dans la mer qui bordait la Grèce, Adriatique, s'il se souvenait bien. Enzo n'avait jamais vraiment suivi assiduiement ses cours. Tout habillé, il s'était simplement immergé dans cette masse d'eau puissante et salée qui lui rappelait avec un léger pincement au coeur ses baignades à Madrid. La nostalgie le submergeait, et le monsieur Cruz décida qu'il était temps pour lui de mettre fin à cet état catatonique et à sa douche, puis se rendit, simplement enroulé dans une serviette au niveau de la taille, à sa paire de jeans duquel il sortit un petit sachet de poudre blanche...

Après avoir consommé une prise amère, Enzo renifla, puis se regarda dans le miroir, en souriant vaguement. Enfilant un short blanc et un t-shirt noir, le jeune homme décida de sortir prendre l'air, de cette journée grecque qui promettait d'être chaude. Ramassant son portable et ses affaires, il les rangea soigneusement dans ses poches. Déambulant sous le soleil déjà haut perché dans le ciel, Enzo sentit son portable vibrer. En y regardant de plus près, il remarqua les coordonnées de Lana Kostas, la jolie et gentille jeune femme qu'il avait rencontré l'avant-veille. Dans un état trop second la veille, il remarqua à l'instant qu'elle lui avait proposé de lui offrir un tour de l'Ile, guidée avec une résidente de ce coin paradisiaque. Ayant suffisamment discuté avec elle pour faire le lien avec l'entreprise qu'elle dirigeait, le jeune homme marcha jusque là, les mains dans les poches...

On lui annonça qu'elle était occupée et qu'il valait mieux prendre rendez-vous. Était-ce l'envie de visiter si promptement l'Ile ou le désir de la voir elle qui l'ennuyait le plus? Enzo conclua sur un mélange des deux, ainsi donc se permit-il (aidé consciencieusement par la sensation légère sur laquelle il flottait depuis sa prise) d'insister. Étonnamment, et heureusement, Lena finit par reconsidérer et Enzo fut conduit par sa secrétaire, qui le laissa devant la porte, avec un regard désapprobateur. Il réprima un sourire. On n'avait jamais approuvé la moindre décision, et depuis longtemps ça le laissait froid.

«La journée s'annonce magnifique, et j'ai immédiatement pensé à ta proposition. J'ai jugé qu'il serait peut-être intéressant de te sauver des griffes du travail sous prétexte de faire découvrir l'ile à un étranger...»

& peut-être aussi la découvrir elle, plus précisément, ne serait pas de refus...

Tout les gens on un passé parfois douloureux, parfois presque parfait l’enfance rêvée quoi! Mais Lena n’avait pas eu l’enfance qu’on pouvait rêver d’avoir.. Oui tout le monde pense qu’elle est parfaite vu le sourire qu’elle à toujours de coller à ses lèvres, c’est ce qu’on appel l’apparence. La jeune femme à vu ses parents mourir alors qu’elle n’avait que 13 ans, c’était l’anniversaire de la petite grecque et ses parents avaient décidé de l’emmener à l’extérieur de la ville puisque la jeune femme aimait découvrir de nouveau pays, de nouveau endroit.. Ils n’étaient pas aller bien loin puisque son père devait rentrer le soir même. Ils allèrent faire les grands magasins, et ensuite aller dans un parc d’amusement jouer dans les manèges, la journée rêvée. C’est lors du retour que tout bascula, Lena c’était endormi à l’arrière de la voiture tandis que ses parents discutaient légèrement en écoutant de douces mélodies grecques. Il devait avoir pris la route vers les minuits et ayant 3 heures de route à faire, la gamine alors âgée de 13 ans c’était endormis fatiguée de sa journée à rigoler avec les deux personnes à qui elle tenait le plus au monde. Elle se fit réveiller par les coups de Klaxon d’un gros camion de livraison, tout ce qu’elle eux le temps de voir c’est sa mère endormi, ainsi que son père et les phares de l’immense camion. C’est à se moment que Lena cria et que ses parents reprirent conscience, mais malheureusement c’était trop tard. Lena fut la seule survivante de ce tragique accident qui laissa marquée à jamais la jeune femme, non seulement émotionnellement mais aussi physiquement ayant quelques cicatrices aux niveau des cuisses, dû à des entailles de verres. Lena pense à cet anniversaire tout les jours, et en particulier c’est temps ci voyant le mois de juillet, son anniversaire arriver.

Lena leva ses yeux du calendrier ou son assitante avait entourée de rouge le 14 juillet, elle soupira légèrement avant de lever les yeux vers la porte, quand elle vit son assitante quitter et laisse place à une silouhette masculine. La brunette sourit alors en reconnaissant le charmant jeune homme qu’elle avait rencontrée deux jours avant au club le Diamant avec qui elle faisait la fête avec ses amis et sa cousine Calista. L’espagnol était d’abord venue voir le petit groupe de fêtard en leur proposant de la came, seule Lena avait levée le nez sur sa proposition et avait préférée allez se commander un verre au bar quelques mètres plus loin quittant ainsi la piste de danse. Elle avait commencée à parler avec un tourisme Canadien qui ne faisait qu’ennuyer la jeune femme, la draguant vraiment pas subtilement et un peu grossièrement. Enzo, comme un prince charmant était venue vers Lena et c’était fait passer pour son copain, lui demandant même si elle avait appeler la gardienne pour savoir comment leur petit garçon allait. Elle avait sourit et lui avait confirmer que le petit allait bien et qu’il dormait comme un ange. C’est vite fait, que le Canadien se retourna et alla sur la piste de danse pour draguer une autre fille, blonde et sublime, vraiment ridicule. Les deux jeunes gens rigolèrent et Lena le remercia se présentant. Ils passèrent la soirée à discuter au bar, bien que la jeune femme n’appréciait pas le boulot de Dealer du jeune homme.. Elle passa un très bon moment en sa compagnie, lui proposant ainsi de lui faire visiter l’île si il le désirait bien sûr!

La pauvre avait totalement oublié sa proposition, il faut bien avouer qu’elle n’a pas une très bonne mémoire, même quand elle n’a pas bu. Elle souria toujours assise derrière son bureau une tonne de paperasse qui faisait une montagne devant elle, et un téléviseur allumer sur une chaîne espagnol ou portugaise qui passait de vieux soaps, oui ça l’aidait à se concentrer! Elle se leva alors et alla lui faire la bise, tout de même bien élevée. Elle souria contente de le voir et de lever enfin le nez de tout le boulot qu’elle avait, elle appuya le bout de ses fesses sur son bureau et fit face ainsi à Enzo.

Oui je t’ai envoyer un texto pour te remercier pour la nuit dernière, de m’avoir raccompagner et tout. Mais je dois t’avouer que je ne croyais pas avoir de tes nouvelles aussi rapidement.

Quand il parla de la sauver du travail, elle regarda tout les papiers puis regarda ensuite le bel espagnol.

Et.. si je refuse, est ce que tu compte me kidnappée?!

Fit elle avec un sourire charmant et baissa les yeux avant de les relever vers le jeune homme.

Il ne fallait bien qu'Enzo Javier Cruz pour ne venir d'arriver, de ne pas vraiment être installé (Car il n'avait bien sûr pas pris la peine de se reposer une seule seconde dans la magnifique chambre qu'il occupait à l'hôtel, ni même ouvrir ses bagages), de ne connaître pratiquement personne, puisque la Grèce, pour Enzo, était un dépaysement total pour trouver, déjà, d'emblée, une femme qui lui plaisait. Plus que de raison, même. Lena Kostas, et ses grands yeux bruns parsemés de parcelles d'or et sa chevelure brune, soyeuse et délicate, en plus d'être magnifiquement arrangé en cascade sur ses épaules fines. C'était tout ce qu'il connaissait d'elle, ou presque, mais il en était déjà épris. Étrange pour un jeune homme qui se dit sans attache de tomber si rapidement sous les charmes certes dévastateurs de la demoiselle, mais pour le brun, compréhensible, faut pas oublier qu'il avait du sang chaud des Latins qui coulait dans ses veines, entre les quelques résidus de poudre qui lui restait toujours de son petit sniff matinal.

Tout ce petit monde qu'il s'était déjà tissé à Santorini avait commencé au Diamant, le club de l'heure ici, qu'on lui avait dit. On avait rapidement cerné son personnage à peine avait-il posé le pied sur l'archipel grecque, et il était nécessairement considéré comme un fêtard déglingué, ce qui n'était pas totalement faux. Il faut mentionner le fait qu'il possédait de tout et n'importe quoi pour soulever même le plus timide des invités à se défoncer et à se frotter contre quelqu'un, même, oubliant tout le reste, sauf le plaisir qu'il pouvait prendre à se laisser aller. Eh ouais, catégorié dealer dès son arrivée. Avec les conseils d'un copain qui l'avait branché ici, on lui demanda d'emblée de fourguer une petite bande de jeunes gens natifs de la magnifique Santorini, de laquelle Enzo commençait à pincer pour. L'endroit était calme, reposant et mettait les touristes à l'aise, puis se métamorphosait en endroit digne de Vegas pour faire la fête la nuit tombée. Enzo était brillant, ce n'était pas pour rien que son petit commerce florissant n'était pas encore déranger par la police, et ce n'était que par conseil de ce jeune homme qu'il avait offert une ribambelle de comprimés, d'herbe et de poudre qu'il avait caché un peu plus loin. Le jeune Cruz avait déjà planqué sa marchandise aux quatre coins de la ville, histoire de ne jamais être à court.

Il avait tout de suite remarquer la seule personne de la bande à refuser l'effusion de paradis artificiel, une jolie brune pulpeuse avec un visage fin et délicat. Enzo ramassa quelques billets, leur faisant à très, très bas prix (à pertes, même), histoire de prendre part au marché présent dans cette contrée apparemment idyllique, puis quelques minutes plus tard, entra dans le bar. Il ne put que sourire d'amusement à la mine déconfite de la brunette. En moins de deux, sans réfléchir, il s'en approcha, et tapota l'épaule du mec qui, visiblement, l'ennuyait à mourir.

«Chérie, tu as appelé la nounou pour avoir des nouvelles de Théo , toi qui était si inquiète de le laisser loin de tes bras l'espace d'une soirée...»

C'était ainsi qu'il s'était mis à discuter, après qu'elle l'eut remercier. Pendant l'espace d'un moment, Enzo pensa que ce serait bien d'avoir un fils, ou même une fille, et une femme aussi brillante et belle que l'était Lena Kostas. C'était par pur plaisir qu'il avait, avec une journée d'intervalle, décidé de précipité sa visite de l'Île en sa compagnie, puisque la journée semblait propice à profiter pleinement de l'archipel. Le voilà maintenant en face d'elle, encore surpris de sa grande beauté, et la regarda s'assoir en face de lui, sur son bureau, avant de prendre la parole. Un sourire apparut sur les lèvres de l'hispanique, puis il répondit.

«Pourquoi faire attendre les bonnes choses?»

Puis, tandis que le regard de Lena passa d'Enzo à ses papiers, pour revenir croiser son regard sombre, le jeune homme éclata de rire puis, reprennant tout son sérieux, même davantage, et dit, d'un ton amusé.

«Si j'y suis contraint, je serai bien obligé...»

Il fit un pas dans sa direction, puis un second, puis croisa son regard en restant silencieux pendant un moment, tandis qu'il reprit en même temps qu'il glissa sa paume contre celle de la jeune femme, la tirant doucement.

«Je suis sûr qu'il y a beaucoup à voir ici, faudrait partir...»

dit-il, espiègle.

Lena vivait ici depuis sa naissance, elle avait certes voyager un peu partout avec son père qui devait aller en voyage d'affaire pour s'assurer que les boutique Nazario'Kostas marchent bien. La petite grecque avait eu la passion des voyages dès qu'elle prit l’avion pour la première fois, son père passait toute la durée du vol à raconter à sa petite fille ses divers voyages autour du monde. C'est ainsi que Lena, les yeux pétillant face aux aventures de son père compris ce que c'était de voyager et que plus tard elle ferait le tour du monde! Malheureusement depuis la mort de son père, il y a sept ans de cela, elle n'a pas beaucoup voyagé, mais elle garde toujours ce rêve en tête. La jeune femme n'a pas un long parcours amoureux, elle est déjà sortie avec quelques garçons, mais jamais rien de sérieux. Elle sans doute peur aux jeunes hommes qui la trouve un peu trop exigeante envers elle-même, et de la voir aussi adulé ça doit faire peur.

Les gens pensent tous que Lena est une bourreau de travail, qui ne sait pas s'amuser.. Mais c'est tout le contraire, elle est comme un loup-garou. Le jour, elle est sérieuse et travaille très dure et quand la nuit arrive, elle se transforme totalement, elle devient une autre Lena. Elle adore faire la fête jusqu'au petite heures du matin et parfois elle aime bien avoir de la compagnie pour la nuit, sans attache. Quand Enzo la raccompagna, elle su que se serait différent il déposa délicatement un baiser sur sa joue et elle rentra seule à la maison, dos coller contre la porte et repensant à sa soirée. La jeune femme n’est pas très adepte des drogues, le second métier du bel espagnol, mais elle préférait ne pas penser à ce petite détail, et profiter du reste.. Même si elle refuserait chaque fois qu’il lui en offrirait. Elle ne croyait pas qu'elle reverrait le charmant espagnol de si tôt. Elle se rappelait de lui certes, un grand sourire aux lèvres, de jolis yeux marrons qu'on pouvait regarder des heures sans s'en lasser. Il était très galant et légèrement charmeur sans en faire trop, Lena avait été agréablement surprise par l'attitude du jeune homme, et en gardait un très bon souvenir.

Elle alla doucement s’asseoir face à lui et croissant les bars contre sa poitrine un petit air malin, lui demandant si il comptait la kidnappé si elle refusait.. le jeune homme lui répondit mais la sensation de sa paume contre la sienne, lui fit perdre tout sens, surtout celui de l’écoute. Elle afficha un sourire quelques peu timide avant de lever les yeux vers lui, plongeant son regard dans le sien. Ils restèrent en silence un petit moment, uniquement à ce regarder.. Comme si c’était ce qu’il désiraient tout les deux depuis la dernière nuit.. Puis après quelques instants, ne pouvant rester ainsi des heures Enzo l’attira vers lui.

Je crois que je peux bien prendre mon après-midi pour toi, mais tu m’en devra une!

Fit elle avait un petit sourire aux coins des lèvres suivit d’un clin d’œil. Elle ne prit pas le temps de prendre sa veste vu la température qu’il faisait. Elle se mis à marcher rapidement vers l’ascenseur comme deux adolescent qui voulait sécher les cours de l’après-midi! Enzo la tira par la main et Lena regarda son assistante.

S’il vous plaît, prenez mes appels et dites leur que je suis en pleine réunion très importante.

Fit-elle en mettant l’accent sur le ‘’très’’. Les portes de l’ascenseur se refermèrent alors, Enzo et Lena en silence écoutant la musique douce et endormante. Lena le regarda et lui demanda alors ce qu’il désirait faire de cet après-midi, ce qu’il voudrait visiter.

[Je suis ton conseil, je fais plus court Very Happy

]

À peine arrivé qu'Enzo Javier Cruz prétendait avoir de bons souvenirs de la magnifique archipel, et on pouvait clairement affirmer que Lena Kostas n'y était pas pour rien. Étrange ce que la vie vous réserve, au détour d'une vente à rabais pour les fêtards confirmés. L'allusion le fit sourire, mais l'Espagnol le ravala. Il ne fallait pas trop montrer à la jeune femme qu'elle lui plaisait, Enzo ne voulait surtout, surtout pas l'effrayer. Franchement, vous dites un coup de foudre? Enzo n'y a jamais cru, croyant fermement que cela se résume aux contes que l'ont racontent aux petites filles pour les aider à s'endormir. La réalité est plus abrupte, plus sèche, et beaucoup plus dramatique. Draîner le romantisme, la passion en affirmant qu'on peut, d'un coup d'oeil, tomber éperdument amoureux d'une personne gâchait tout le plaisir de la chose. Des attirances, des pulsions qui nous pousse dans une direction, peut-être, mais Enzo était peut-être, au fond de lui, plus sentimental qu'il ne l'admettrait jamais, car il désirait plus qu'un coup de foudre. Il voulait courtiser, apprécier, pour connaître la saveur douce et aigre à la fois de l'Amour avec un grand A.

S'il s'avérait que ce coup du Destin qui le poussait fermement dans la direction de la jolie entrepreneuse, tant mieux. Enzo profiterait pleinement de ces moments privlégiés qu'il aurait à partager avec elle, et si cela devait aller plus loin, ce qui, bien entendu, ne le dérangerait pas le moins du monde, ça arriverait. Point barre. Il était impression de remarquer à quel point ses pensées et ses positions étaient claires quand il était sous l'effet doux comme un châle ou un carré signé de la drogue. Ça l'apaisait, le rendait plus calme, moins nostalgique. Décidant de cesser de se prendre la tête, Enzo préféra profiter de la douceur de la paume de Lena dans la sienne, qu'il avait pris sur un coup de tête, remerciant mille fois ses impulsions spontanés de lui donner pareille occasion.

«Qu'est-ce qu'on ne ferait pas pour des beaux yeux! Aller, je t'offre une glace, et je t'en dois une.»

Il lui sourit, légèrement navré d'avoir du gâché le silence agréable entre eux deux, mais Enzo était branché sur la visite de Santorini, et rien, même Lena Kostas elle-même, ne pourrait l'en dissuader, à moins d'être très, très persuasive, mais, pour l'instant, il l'attira vers lui pour la faire quitter ce bureau qui sentait les responsabilités à plein nez. Il se refusa à éclater de rire en voyant l'emphase que mis Lena à ne surtout pas être dérangé durant sa mission de faire connaître son coin à Enzo, et lui sourit, se sentant honoré d'être choyé à ce point.

«Faudra tout me montrer, même si ça prend tout l'après-midi et toute la nuit.»

dit-il, les yeux brillants d'excitation, comme un gamin à Noël.

La jeune femme aimait bien partir du bureau ainsi, elle sentait plus en vie et ça la faisait sourire et ses yeux rayonnaient de bonheur. C’est rare qu’on puisse voir la jeune femme un briller ainsi, et elle le devait à Enzo. Quand la jeune femme sentie leurs paumes se frôler jusqu’à en faire qu’une Lena baissa délicatement les yeux ne pouvant garder son regard dans celui du bel espagnol si elle ne voulait pas rougir. Les deux jeunes quittèrent alors l’endroit, respirant un grand coup quand elle fut arrivée à l’extérieur signe de liberté. Elle le suivit toujours la main dans la sienne sans même s’en rendre compte comme si c’était une habitue entre eux, Lena regarda devant elle, le soleil à sa pleine hauteur le vent chaud frôler ses épaules nues. Elle regarda du coin de l’œil le jeune homme qui lui proposa alors une glace, petit délice glacés dont raffole la jolie demoiselle, c’est donc d’un sourire qu’elle accepta et le dirigea vers l’un des meilleurs glacier sur le bord de mer de tout Santorini. Il y avait foule comme d’habitude avec toute cette chaleur, mais de toute manière ils allaient prendre leur glace et continuer leur route par la suite.

Une glace à la vanille s’il vous plaît.

Le jeune serveur de l’autre côté du comptoir souria à Lena tout en lui préparant sa glace à la vanille, saveur dont raffole celle-ci tout comme l’odeur. Elle se tourna vers Enzo le laissant commander, et le fit patienter en lui offrant une bouchée de la sienne avec une petite face d’ange. Quand ils furent servis, Lena l’invita à continuer de marcher pour lui monter des endroits de la ville, de vieux musées, des routes, un cimetière, une chute.. les endroits préférée de la grecque en elle. Elle s’approcha d’une vieille église, et regarde le jeune homme qui était captivé par la visite qu’elle lui offrait, ne lui montrant pas la boite de nuit ou les restaurants, mais la vrai vision de Santorini selon elle. Elle lui montra la vieille église et lui raconta un peu son histoire.

C’est ici que je me suis fait baptisé, c’est aussi l’endroit ou mes parents, mes arrières grands-parents et tous mes ancêtres se sont mariés et fait baptisé. C’est ici, que je rêve secrètement de me marier et de faire baptisé mes futurs enfant.

Elle afficha un sourire, très peu de gens le savait, hormis sa grand-mère.. Elle avait donc dit un secret à Enzo sans lui en demander un en retour, comme ci ce qu’elle venait de lui dire était parfaitement normal. Elle regarda sa montre affichant les 16h30, ils avaient savourer une glace et elle n’avait pas trop faim, elle se tourna vers lui et lui souria, cachant ses yeux du soleil avec sa main droite.

Tu voudrais que je te montre ma drogue à moi?

Fit elle en se mordant la lèvre inférieur et en baissant les yeux face au soleil si brillant et aveuglant.

[Désolé si c'est pas super, le sommeil me gagne xD]

Puisqu'il ne connaissait la jeune femme que pour l'avoir sauver des griffes d'un mauvais don Juan et d'avoir passé une partie de la nuit avec elle, à converse, Enzo Cruz ignorait tout de ses manières, de ses envies, de ses goûts. Pourtant, c'est avec un plaisir immense qu'il apprennait à la connaître, petit à petit. Même si Lena Kostas était toujours une étrangère, voir son regard pétillant son sourire enjôleur et son air malicieuse, il ne pouvait pas craindre de l'avoir dérangé, ni même importuné. Ce fut un poids de moins sur les épaules de l'Espagnol, puisqu'il prennait conscience de l'avoir arraché à son travail sans plus de manière que glisser sa main dans la sienne, comme si c'était un comportement normal et habituel. Remarquez, le jeune homme s'habituerait vit à la douce sensation de sa paume dans la sienne, et il perdit rapidement conscience de ce geste, qu'ils ne coupèrent pas jusqu'à ce qu'il furent rendus à la glace que lui offrait Enzo. La regardant commander, détaillant la beauté ravageuse de la jeune femme, il finit par demander la sienne à son tour.

«Noix de coco, s'il vous plaît.»

En fait, Enzo était plutôt vanille, mais pour avoir le plaisir de prendre un peu de celle de Lena, prendre celle à la noix de coco n'était pas un très grand calvaire. Il en lécha discrètement une partie, sans remarquer qu'une petite parcelle de la crème glacée s'était collé à son nez. Il fut préoccupé par la superbe église que lui describit la jeune femme comme l'endroit où elle et tous ses aïeuls avaient passés des moments comme le mariage et le baptême depuis des générations. Ça avait beaucoup de valeur, et le bâtiment était fantastique. Tout sourire, Enzo lança.

«C'est royal, une église de conte de fée.»

Il croisa son regard en souriant. C'était l'archi-type de l'église de mariage parfait d'une vie parfaite et de gens parfait, mais aussi ceux de gens normaux, comme Lena et lui, par exemple, qui vivaient l'un des moments les plus importants de leur vie.Puis, Enzo eut droit à une confidence de la jeune femme, et acquieça d'un geste de tête. Il comprennait parfaitement cette envie qu'avait la demoiselle Kostas de vouloir que ses enfants conservent l'héritage d'un lieu si pur de baptême.

«Ça ne me surprend pas, je m'imagine bien aussi, personnellement.»

Tiens, Enzo Cruz qui parlait matérialement mariage et enfants? Amusant. Cependant, il ne s'éternisa pas et, curieux.

«Tu m'intrigues, Lena Kostas.»

La curiosité est un vilain défaut, et de fondre pour une demoiselle aussi charmante et douce que Lena, simple logistique.

Ils n’avaient pas passé la première nuit où ils se sont rencontrés, au bar. Non ils avaient marchés un bon moment à la lumière de la lune et des centaines d’étoiles que l’ont pouvait voir à l’œil nue dans le ciel. Ils avaient passé la soirée à discuter de tout et de rien, sans pression de la première rencontre. Elle avait été très à l’aise avec lui, elle laissa sa timidité de côté et on Enzo avait pu connaître la vrai Lena. Ils avaient passer un bon moment et c’est par un bisou sur la joue que ça c’était terminé. Mais quand il était entré dans son bureau, elle aurait bien aimée déposer ses douces lèvres contre ses joues, mais le simple fait de frôler sa paume de main dans la sienne la fit frissonner légèrement, perdant ses idées claires et acceptant de ce fait une promenade en ville. Pendant la petite visite guidée par la jeune grecque, ils arrêtèrent pour prendre une glace, elle prit à la vanille et lui la noix de coco, saveur qu’aimait aussi celle-ci. Elle l’amena alors voir une église qui lui tenait à cœur et c’est à ce moment qu’elle remarqua que celui-ci avait de la glace sur le bout du née, elle rigola un peu et s’approcha de lui en le regardant dans les yeux, elle retira la glace du bout de son doigts et souria légèrement. Puis elle s’approcha avec ce petit geste délicat et attentionné.

Tu en avais un peu là..

Fit elle en rigolant et lui fit une grimace, tout en reprenant la route, l’écoutant parler de l’église. Elle fut surprise de voir que celui-ci pensait au mariage, dans l’avenir et aussi des enfants.. un sujet sur lequel Lena pourrait parler pendant des heures! Non qu’elle avait hâte au mariage, mais aux enfants.. et à l’avenir. Elle aime bien rêver, penser à autre chose qu’au présent. Elle souria, en lui proposant de lui montrer de lui montrer sa propre drogue à elle, ce qui lui donnait la sensation de planer.

Oh mais, j’ai rien à vous cacher Monsieur Cruz!

Un doux sourire s’afficha aux coins de ses lèvres et elle regarda l’heure, bien qu’il soit 16heures, ils ne devaient pas tarder.. Le soleil se coucherait dans plus de 3 heures. Elle se mit à marcher en direction de la Marina.

J’espère que t’a pas le mal de mer, parce que c’est la première partie.

Lena souria en le regardant, on pu voir les bateau de loin et Lena arriva face à son bateau et commença à enlever le cordage. Elle se tourna vers lui bras croisé.

Et si tu me parlais un peu de toi.

Elle fit un petit air malin en s’avança vers lui, mais en dérivant vers l’entrée du bateau en montant faisant gaffe de ne pas tomber. Elle l’invita à monter à bord et monta à l’étage pour partir les moteurs avec le jeune homme.

{Honte à moi}

[Pourquoi honte à toi Shocked

]

Sa première soirée avec Lena Kostas avait été tout, sauf ordinaire. Les premiers «rendez-vous» avec les demoiselles qu'Enzo avait l'habitude de fréquenter finissait plus souvent qu'autrement sous l'édredon de plumes dans une chambre hors de prix, ou l'appartement moderne sur un canapé particulièrement sympa. Pour la première fois de sa vie, l'idée même de finir la soirée au "pieu" avec la jolie mademoiselle Kostas n'avait pas été envisagé. Ayant eu tellement de plaisir à converser, à argumenter et à apprendre à connaître la grecque, il n'avait pas eu le moins du monde clore cette soirée par une activité qui aurait mis fin à la rencontre idyllique et à la soirée parfaite qu'il avait passé en sa compagnie. Un seul baiser, sur la joue, qu'elle, Lena, lui avait offert, sans qu'Enzo demande son reste. Dès qu'elle avait fermé la porte, il avait posé la main sur sa joue, puis, tout sourire, il était parti, rêveur, en direction de l'hôtel.

Le voilà maintenant à lui offrir une glace, à en consommer l'une, et à la regarder rire majestueusement alors qu'elle s'approcha en le regardant dans les yeux. À moitié d'incompréhension, le jeune homme la regarda, interrogateur, jusqu'à ce qu'elle mette le doigt sur son nez qu'il remarqua glacé, en retirant un peu de crème glacée qui s'était échoué. Enzo eut un sourire enfantin, légèrement gêné, et passa la main dans ses cheveux. Crétin!

«Je devrais écrire un bouquin sur comment avoir l'air idiot en trois leçons»

Il rit doucement, puis continua son chemin, s'efforçant de ne pas se frapper la tête dans ses mains pour extrême idiotie. Attendri par sa grimace et son geste attentionné, Enzo fut soudain pris de curiosité par cette «drogue à elle» qu'elle lui proposait de partager. La savant très peu ouverte sur «sa drogue à lui», il fut étonné de la savoir prendre ces mots, mais intrigué. Très intrigué. Il en avait presque oublié le sujet sérieux (mariage, enfants) qu'ils avaient entamés quelques instants plus tôt.

«J'ai quelques tours de voilier derrière moi et, crois-moi, ça ne peut pas être pire»

Les voiliers de son oncle Ricardo. Il eut un sourire à ce souvenir. Enzo l'empruntait pour se rendre sur l'ile qu'il avait découverte non loin de la plage avoisinant le coin de campagne où il résidait avec ses parents, et où les vagues se fracassaient, lui permettant de pratiquer un semblant de surf. Chaque fois, la mer s'agitait, le faisant tomber.

«De moi? Bon, d'accord»

Il haussa les sourcils, impressionné, en voyant le bateau qui se dessina derrière Lena. Il était énorme. La regardant défaire le cordage, Enzo prit conscience de son engagement à parler de lui (ce qu'il avait, habituellement, en horreur) et commença, ne sachant trop que dire.

«J'ai 26 ans, je suis commentateur sportif qui pratique son art partout aux États-Unis, j'adore ce travail, et c'est d'ailleurs la première fois que je m'en éloigne depuis quatre ans. Santorini est l'endroit où je prends mes premières vacances, et j'adore l'endroit, ça me rappelle un peu Madrid, en quelque sorte.»

Il sourit, gêné, puis continua tout en la suivant jusqu'au poste de commande.

«Je suis l'aîné d'une famille de cinq enfants, j'ai pratiqué élevé trois d'entre eux, les plus jeunes surtout, et je travaille depuis que je sais marcher pour ramener de quoi manger à ma famille..»

Il s'arrêta, faute de souffle, puis lança.

«À vous, mademoiselle Kostas»

Alors t'écrira un bouquin sur comment être maladroite et ce sera parfais pour moi.

Fit elle avec un petit sourire en le regardant un peu timide, et en s'approchant de son bateau, un grand bateau à moteur de deux étages, elle le fit monter à bord avant de monter à l'étage avec celui ci.. Elle partie les moteurs et ils se rendirent rapidement aux loin pour avoir un peu la paix. Ils discutèrent d'eux tout au long et Lena pu apprendre quelques petites choses sur le charmant jeune homme avec qui elle avait passé une très belle après-midi. Elle fut surprise d'apprendre qu'il était l'aînée d'une famille de cinq enfants, cela paraissait très brave d'avoir travailler si fort depuis tout petite et d'avoir aider sa mère avec le reste de la famille.

Whaou, à côté de toi ma vie n'a rien de bien intéressant je dois l'avouer.

Fit elle en arrêtant les moteurs, ils étaient assis sur une banquette et Lena se tourna de côté pour être face à lui, et replia ses jambes sur elle même. Elle souria en écoutant la suite de son histoire puis elle se mordit la lèvres quand il lui retourna la question, hésitant sur ce qu'elle avait envie de dire sans parêtre pour une pauvre fille, qui se plaint et tout.

Hey bien, j’ai 20 ans.. j’en aurais 21 au cours de l’été je suis native de Santorini. Je suis fille unique, alors tu peux comprendre que je t’envie d’avoir une aussi grande famille.. J’aurais toujours rêvé d’avoir un frère. Je suis à la tête de l’entreprise fondé par mes ancêtres et j’aime bien mon boulot je veux surtout faire honneur à ma famille. Sinon j’ai ma propre maison et je prends soin de ma grand-mère qui est malade.

La jeune femme avait les yeux baissés et regardait ses mains pour éviter de regarder le jeune homme. Elle n’avait pas trop l’habitue de parler d’elle, elle ne savait pas trop comment s’y prendre, quand elle réalisa tout ce qu’elle venait de dire, elle fut surprise

Whaou, je crois que je n’ai jamais autant parlé de moi à quelqu’un, ça me fait un peu bizarre.

Fit elle en levant les yeux pour croiser le regard du jeune homme, souriant du coin des lèvres légèrement en se mordillant la lèvre inférieur. Elle le regarda un petit moment dans les yeux sans un mot, et passa une mèche de sa chevelure bouclée derrière son oreille quand elle fit se geste sa main frôla celle du jeune homme et Lena perdit alors le contact avec les yeux de Enzo et souria timidement en se levant, ses mains dans les poches arrière de son pantalon.

Alors ta toujours envie de faire ce truc?

Fit elle parlant de la chose qui lui donnait de l’adrénaline, Elle se tourna pour ouvrir un coffre et sortie alors deux combinaison de plongée, elle afficha un sourire arquant son sourcil pour attendre sa réponse. Le soleil commença à descendre tranquillement mais ils avaient encore une bonne heure avant le coucher du soleil. Elle l’invita à descendre en cabine où elle lui offrit un maillot et ou elle mis son bikini de couleur brun et turquoise. Elle se tourna vers lui après l’avoir enfiler étant dos à dos et elle souria à celui-ci prête à enfiler les combinaisons de plongée. Elle l’aida à enfiler et ajuster les bombonnes de celui-ci en ayant l’habitude et alla se placer sur le bord prêt à sauter. Elle fit le décompte et pris sa main puis quand elle arriva à Zéro les deux sautèrent à l’eau.

Il fut heureux de voir qu'elle ne s'éternisa pas sur le moment «j'ai de la crème glacée sur le bout du nez et je suis trop crétin pour m'en rendre compte» et se laissa même aller à une pointe d'humeur, à laquelle Enzo Cruz répondit par un sourire charmé. C'était le cas de le dire, Lena Kostas le charmait totalement. Elle était si simple, si authentique, il n'avait jamais eu l'occasion de se sentir si près d'une personne sans nécessairement partager autre chose qu'une proximité agréable et une conversation comparable à rien auparavant. Enzo suivit, toujours ébahi, la femme sur l'immense navire à deux étages. En se rendant au poste de commandement, ils discutèrent un peu, échangeant quelques regards complices et sourires délicats. La meilleure après-midi que l'Espagnol passait depuis longtemps.

«N'y compte pas, je suis certain que tu as quelque chose à me raconter»

Ce n'était pas si extraordinaire à ses grands yeux foncés d'être l'aîné de sa famille, ni même d'avoir du travailler très tôt pour eux. C'était tout simplement comme ça, et Enzo ne s'en était jamais plaint. Broncher n'était pas dans ses habitudes, et ça ne changerait pas de sitôt. Les moteurs s'éteignirent, ils avaient quittés la côte. Ils étaient tous deux sur ce yacht somptueux, et Lena lui fit signe de prendre place. La regardant tout en parlant, la voyant se mordre la lèvre, il eut envie de lui voler un baiser. Il en fut surpris, mais n'avait pas oublier la douceur de ses lèvres l'autre soir. Enzo préféra écouter ses paroles, les yeux brillants d'intérêt.

«C'est noble de ta part, de prendre soin d'un membre de ta famille. Je les ai laissé là-bas moi, sans mon aide. Tu as beaucoup plus de mérites, et je t'admire pour ça, Lena Kostas.»

Il continua.

«Et, entre nous, c'est une première pour moi aussi...»

Il aimait le son de son nom entre ses lèvres, puis instinctivement, il passa la main sous le menton fin de la demoiselle et lui releva la tête, avec un sourire confiant sur son visage basané et calme. La laissant ainsi, reprennant place, elle frôla sa main quand elle prit l'initiative de passer ses doigts dans l'une de ses mèches. Enzo frissonna presque à ce contact, et apprécia le sentiment. Il eut envie de s'approcher pour sentir son parfum, mais réservé, se contenta de répondre.

«Plus que jamais»

Il ne pensait même plus à la drogue. La sienne, la came. Ce monde semblait si loin, échoué sur la plage qui paraissait éloigné de ce petit Santorini que Lena lui faisait découvrir. Tandis qu'elle venait de se lever, Enzo la suivit, passant la main dans ses cheveux avant de se laisser conduire dans le bateau. Elle ouvrit un coffre, et l'Espagnol se mit sur la pointe des pieds, curieux, pour en voir le contenu. Lorsque Lena en sortit deux maillots, il ne put retenir, amusé.

«Est-ce que je devrais m'inquiéter du fait que tu as autant de maillots féminin que masculin?»

Il lui sourit, puis se tourna galamment pour laisser enfiler le sien. Il enfila le costume après avoir soigneusement plié ses affaires sur un banc tout près, puis Enzo se laissa finir d'habiller par la demoiselle, et serra la main de celle-ci quand elle la glissa dans sa paume, et réprima un sursaut quand elle les firent bondir dans l'eau tiède d'un soleil encore ardent...

La jeune femme aurait bien pu aller dans la pièce d’à côté pour se changer mais elle savait qu’Enzo était gentleman et n’aurais pas regarder par-dessus son épaule, ils étaient adultes après tout ! Elle plaça ses vêtements sur des cintres, puisque que c’était sa tenue de travail et ne savait pas si elle allait aller retourner travailler ce soir. Elle se tourna vers lui, et fut curieuse par rapport à ses paroles dites plus tôt.

Qu’es qui est une première, entre nous deux.

Demanda alors la jeune femme en ajustant la tenue de plongée de celui-ci étant très près de lui, elle aurait aimer frôler ses lèvres aux siennes avant de sceller ensemble, pour ne faire qu’un. Lena chassa vite cette idée de sa tête sinon la soirée s’annonçait être longue. Elle se rattrapa un peu en entrelaçant ses doigts aux siens avant de sauter à l’eau. C’était pas la meilleure tenue, avec cette grosse bombonne d’air, ses pied palmer et ses lunettes de plastique pour voir sous l’eau… Ce n’était pas l’idéal pour un premier rendez-vous mais Lena s’en fichait royalement! Elle est ce qu’elle est, peu importe ce qu’elle porte. Quand ils firent à l’eau, Lena mis le tube dans sa bouche relier à la bombonne d’oxygène. Elle entraîna Enzo sous l’eau pour lui faire découvrir les fonds marins. Une vrai merveilles quand on s’éloigne assez de la ville. Avec tout ses poissons et ce bleu azur qu’était l’eau sous le soleil. Ils y passèrent un bon moment se prenant la main de temps à autre et en rigolant sous l’eau. Lena venait de temps à autres chatouiller d’une certaine façon le bel espagnol avant de venir un peu dans ses bras, puis quand elle vu le restant d’air qu’ils leur restaient, elle lui fit signe de remonter à la surface.. Quand elle sortie la tête de l’eau, Elle retira son masque et le lança a bord du bateau, Elle regarda le jeune homme et souria.

Quand j’ai envie de m’évader, de prendre du bon temps en passant à rien c’est ici que je viens.. Même si j’ai l’habitude d’y venir seule

Elle souria, en s’approchant de lui. C’est vrai Lena n’avait jamais montrer sa passion à personne, mais n’était pas déçue de le faire découvrir à Enzo! Elle prit place sur le bord du bateau afin d’enlever sa combinaison et sa bombonne et se glissa dans l’eau maintenant vêtu que de son simple bikini.. Elle regarda Enzo faire de même et attendit qu’il le rejoigne à nouveau dans l’eau. Elle alla sous l’eau et remonta à la surface près de lui.

Alors Enzo Cruz, Tu me semble bien mystérieux, c’est sans doute pourquoi j’ai autant envie de te connaître.

Elle afficha un doux sourire, avant de nager un peu et de remonter à bord du bateau le soleil commençant à descendre de plus en plus et l’eau à se refroidir. Elle tendit une serviette a celui-ci puis se sécha avant de prendre une couverture et l’invita à s’asseoir avant de faire de même mais cette vois ci elle appuya son dos contre le torse du jeune homme et les couvrit de la petite couverture face au couché de soleil sur l’océan. Elle tourna sa tête vers Enzo et lui sourit avant de s’approcher délicatement de ses douces lèvres sans les effleurés, juste faire les premiers pas.

Jamais, jamais au grand jamais, Enzo Javier Cruz n'aurait été capable de se retourner, bien que la tentation soit attirante et nul doute que Lena Kostas était l'une de ces femmes qu'une fois on y pose les yeux, on ne parvenait tout simplement plus à s'en détacher. C'était le sentiment qu'avait le jeune homme à son égart, et simplement quand elle était vêtue de manière à se faire déranger au travail par un presqu'inconnu qu'elle avait rencontré deux jours plus tôt. Tout comme lui, Lena semblait prendre soin de ses vêtements, qu'elle plaça soigneusement sur des cintres. Il réprima un sourire. Ils avaient plusieurs points en commun, non seulement quand ils ouvraient la bouche, mais à les regarder agir, aussi.

«Je veux dire, c'est pas non plus dans mes habitudes de parler de moi. Pas du tout, en fait.»

Une première depuis bien longtemps. D'accord, les présentations, c'était incontournable, mais le jeune commentateur n'avait pas envie de s'éterniser généralement. Tout le contraire avec la jeune femme, chaque seconde passée à l'écouter parler en valait la peine, valait tout l'or du monde en fait. Son sourire, ses éclats de rire, son regard pétillant. Tout lui plaisait en elle. Ce premier rendez-vous (car la première rencontre ne compte pas, selon les règlements du monsieur Cruz) sous la mer était parfait, incroyable. Il suivit la jeune femme sous l'eau, d'abord un brin mal à l'aise, puis s'adapta rapidement à la situation. S'amusant comme des gosses sous l'eau, Enzo répliqua à ses chatouilles et manqua s'étouffer en riant sous l'eau. Il fut subjugué par la beauté du récif et des corails, des couleurs épatantes, reflétées par le soleil. Enzo Cruz n'avait jamais rien vu de pareil. Leurs mains se joignaient de temps à autres, puis se quitta quand Lena fit signe de remonter. Sans discuter, il obéit, puis l'écouta, franchement ravi d'entendre ses paroles.

«Je comprends parfaitement, mon évasion à moi est beaucoup plus.. comment dire, superficielle?»

Le jeune homme avait un faible sourire aux lèvres. Il ne se trouvait aucun mérite à consommer came sur came, verre sur verre, mais était comme ça. Il jeta un coup d'oeil aux alentours, un sourire satisfait sur les lèvres, puis les yeux d'Enzo se mirent à briller en écoutant les paroles de Lena. La laissant s'approcher de lui, il passa la main sur sa joue douce comme du satin, la remerciant silencieusement pour lui avoir partager cet endroit caché, mais merveilleux.

Enzo Javier Cruz lui sourit, puis admira les courbes parfaite de la jeune femme, épousé par son maillot bleu et brun chocolat, siant parfaitement à son teint. S'étirant longuement, il retira l'équipement, restant simplement dans un short blanc, puis replongea gracieusement dans l'Eau, éclaboussant l'entrepreneure au passage. S'évadant sous l'eau, elle revint finalement à sa hauteur, suffisamment près pour que l'Espagnol sente son souffle chaud.

«C'est un sentiment partagé, Lena Kostas.»

Son nom entre ses lèvres fines et attirantes. Ils profitèrent de l'eau un moment, puis le temps se rafraîchissant, Enzo la laissa monter sur le navire puis remonta l'échelle derrière lui. Il arriva au moment où elle se séchait puis, subtilisant doucement la serviette d'entre ses doigts, la frictionna doucement en enlevant l'excès d'eau. Enzo eut un léger frisson à ce contact, puis entreprit de se sécher à son tour. La journée avait été au-delà de toutes ses attentes. Ce n'était pas fini, car Lena l'invita à s'assoir sur une couverture posée sur le sol, et Enzo laissa la demoiselle prendre place entre ses jambes, et la brunette s'adossa contre son torse. Il serra ses genoux tout contre elle, et blottit ses bras autour de sa silhouette mince, tandis qu'elle se retournait, souriante, en effleurant ses lèvres. Le monsieur Cruz sourit contre les lèvres de Lena, puis l'embrassa pour de bon, délicatement, doucement, puis passa une main sur sa nuque.

Bon Dieu, il était au septième ciel !

Lena n’avait jamais cru quand le jeune homme lui avait offert de la came, qu’elle se rendrait jusqu’ici avec lui. Bien sur, elle n’était pas indifférente à sa belle geule, mais elle l’avait fuit malgré tout ce soir là, ayant en tête que le simple petite vendeur de drogue qu’il est. Mais quand elle commença à lui parler, à le connaître elle découvrit alors une autre facette d’Enzo qui est de plus en plus surprenante de jours en jours, si ce n’est que dire de minutes en minutes. Elle le trouvait très mystérieux et c’est sans doute ce qu’il l’attirait chez le jeune homme. Elle avait passer l’une des après-midi les plus merveilleuse depuis un bon moment, elle avait fait connaître sa ville et l’une de ses passions aux jeune hommes et c’était rapproché de lui par la même occasion. Elle n’avait inviter que des copines sur le bateau de sa famille, mais niveau garçon Cruz était le premier, sans doute parce qu’avec les autres c’était plus un bon coup d’un soir question d’avoir un peu d’attention et de tendresse en moins d’une heure. Elle n’avait pas à se prendre la tête avec lui, elle restait tout à fait naturelle, sans aucun stress ni pression. Bien entendue elle était timide et rougissait de temps à autres, mais c’était tout à fait normal.

Elle avait demander à celui-ci, ce en quoi c’était une première fois pour lui. Bien sur, la jeune femme avait remarquer l’attraction qu’ils avaient l’un pour l’autre, mais elle voulait bien connaître les pensées de celui à ce moment là. Elle souria quand il lui avoua lui aussi de pas être du genre à parler de lui-même. Elle aimait bien qu’il ait confiance en elle, comme elle avait confiance en lui, et de parler chacun d’eux aidait à se connaître petit à petit, ce qui plaisait grandement à Lena.

On a chacun notre façon de s’évader, aucun n’est plus mal que l’autre et je ne juge en rien. Et pour les maillots masculin, j’ai beaucoup de cousins et quand on organisent des réunions d’affaire sur le bateau, c’est toujours pratique.

C’est ainsi qu’avait répliquer la jeune femme suivit d’une petit clin d’œil sincère. Elle avait passé près de trois quart d’heures sous l’eau et était sortie à temps pour regarder le couché de soleil avec une petite couverture. Elle c’était elle-même positionner dans les bras du jeune espagnol mais il l’avait bien sûre aider en la prenant dans ses bras. C’est ainsi, appuyer contre son torse.. ses bras contre les siens, les mains du jeune homme sur son ventre nue sous la couverture qu’elle regarda le magnifique paysage qui s’offrait à elle. Sans doute le plus beau couché de soleil qu’elle ait vu de sa vie, sans doute parce qu’elle était bien accompagnée. C’est à se moment, sur un coup d’impulsion qu’elle se tourna la tête doucement pour regarder le jeune homme dans les yeux, toujours dans ses bras.. Qu’elle s’avança de façon à aller l’embrasser doucement, mourrant d’envie sentir ses lèvres contre les siennes depuis plus d’une heure. C’est à ce moment que le jeune homme vint coller ses lèvres aux siennes et qu’ils échangèrent leur premier baiser; doux mais tout à la fois passionner! La jeune femme frissonnait chaque fois qu’il bougeait un peu, sentant leur peau se frôler encore humide par l’eau. Le coucher de soleil fut encore mieux que ce qu’espérait la belle grecque qui avait embrasser le jeune homme tentant de regarder la reste du couché de soleil, mais ne pensant qu’à la douceur des lèvres du jeune homme. Elle avait sa main contre la sienne, pire que deux amoureux. Elle aimait leur tendresse et douceur actuelle, elle en redemandait d’ailleurs, un peu gourmande cette Lena? Pas ça faute si ses yeux brillaient, et les lèvres de celui-ci manquait déjà à la jeune femme. Le coucher de soleil se termina trop rapidement faisant place à un ciel de plus en plus noir et aux étoiles. Elle aurait bien passé encore plusieurs heures ainsi, mais petit à petit elle commençait à avoir froid, frissonnant légèrement.

T’as envie qu'on rentre au port maintenant? Sinon j'ai des choses dans le frigo et dans la cabine, amoins que tu n'ai autre chose à suggérer?!

Le jeune homme ferma les yeux de plaisir. En ce moment précis, Enzo Javier Cruz se sentait irrémédiablement, complètement comblé. Terriblement choyé aussi, mais il n'allait pas s'étendre là-dessus. Avec Lena Kostas bien blottie contre son torse, ses bras puissants autour de sa silhouette fine, il ne pouvait penser à autre chose, pas avant de reprendre un peu de sérieux. C'était la première fois de son existence que son coeur vascillait, oscillait entre un rythme rapide pendant quelques secondes, puis ralentissait sans raison particulière. Elle le mettait dans tous ses états, et Enzo appréciait le sentiment. Lena lui faisait perdre ses repères, et il avait juste envie de se perdre dans sa chevelure somptueuse, dégageant un parfum attrayant dont il ne pourrait désormais plus se lasser. Il collait sur elle comme une fine caresse, et le jeune homme se prit à jalouser le privilège de cette fine bruine qui recouvrait fiévreusement sa peau délicieusement hâlée. L'Espagnol se trouva idiot pendant l'instant d'un moment, mais lui ayant fait passer un si merveilleux moment, le jeune homme justifia cette drôle de pensée qui s'avérait, même en ayant conscience de l'ambiguïté, toujours autant d'attrait à ses yeux.

Il aimait sa spontanéité, son naturel, ses éclats de rire, son air malicieux, ses lèvres fines, sa douceur et la manière qu'elle avait de le rendre à l'aise. Enzo n'était qu'Enzo, sans artifice, avec elle, et il y prennait goût. Extrêmement goût. Le brun déposa un fin baiser dans le creux de son omoplate, quelques instants avant que la jeune femme reprenne la parole. La regarda, émerveillé par sa beauté et son intelligence, il eut un sourire qui naquit sur ses lèvres encore nostalgiques à l'idée de ce baiser précieux qu'ils venaient d'échanger, quelques minutes plus tôt.

«Je suis d'accord, mais il y a des façons meilleures que d'autres...»

Enzo aimait la came, il aimait sincèrement le nuage vaporeux sur lequel l'amenait l'héroïne lorsqu'elle se diffuse dans ses veines. Puis, le jeune homme grimaça légèrement, puis ajouta.

«J'espérais un peu que tu me dises quelque chose comme ça»

Il était ravi de savoir qu'ils n'avaient rien brusquer, et d'un côté comme de l'autre, ils prenaient plaisir à savourer cet instant précis, depuis que Lena s'était réfugiée dans ses bras sans un mot, et y trouva une place qui semblait faite pour elle. Comme un automate, Enzo avait enrouler ses bras autour d'elle, l'adossant contre son torse, resserrant légèrement les jambes autour d'elle, ayant pour paysage un merveilleux coucher de soleil. C'était.. épatant, époustouflant. Il n'avait plus pris le temps de profiter autant des choses depuis une éternité. Se remémorant avec un frisson leur baiser, à la fois doux et fiévreux, Enzo eut le sourire aux lèvres. Ça s'était fait si naturellement que s'il n'aurait pas encore la saveur sucrée des lèvres de miss Kostas sur les siennes, il douterait sur la fiabilité de sa mémoire. Ils restèrent ainsi, un bon moment, la paume de Lena dans la sienne, jusqu'à ce que s'éteigne leur premier coucher de soleil. La sentant frissonner, il la frictionna doucement après avoir, presque à regret, retirer son lien avec la main de la brunette.

Voyant que c'était peine perdue, Lena Kostas lui offrit un plan alléchant. Pourquoi retrouver la terre ferme, de toute manière, le jeune homme était sur son petit nuage, et ne comptait pas en descendre tout de suite. Se redressant un peu, Enzo croisa son regard puis dit, malicieux, mais avec un sérieux douteux.

«Je suis ouvert à tout, je sais même faire la cuisine, si ça te tente»

La fixant, il rit doucement.

«Eh ouais, je suis plein de ressources, souvent insoupçonnées!»

Dire que Lena aurait pu passer une superbe après midi enfermée dans son bureau au dernier étage de son entreprise, à respirer l’air climatisé, à ne pas voir le soleil de la journée et avoir appels sur appels sans ne bouger de sa chaise semi confortable. Dommage qu’elle ait manquée ça pour passer un merveilleux après midi avec le charmant latino, à faire ce qu’elle aime le plus! Manger une glace, se promener dans Santorini, une balade en mer, de la plongée et un couché de soleil des plus colorés. Que demander de plus?! Bien sur la soirée était encore jeune, mais après ce fameux baiser, mémorable d’ailleurs.. Lena n’avait plus envie du tout d’aller s’enfermer dans son bureau toute la nuit pour reprendre le boulot, elle reprendrait tout ça en temps voulu, Elle méritait de prendre du temps pour elle, et étant Patronne elle pouvait tout se permettre non?

Si ça n’aurait été du vent frais qu’il s’installait tranquillement, Lena serait restée ainsi encore toute la nuit! Leur deux corps à moitié nue, vêtus uniquement de maillot trempés, coller l’un contre l’autre tandis que leur paume se caressait doucement, sentant les lèvres de celui-ci contre son omoplate, faisant rougir doucement la belle grecque qui sentie alors un frisson partir le long de son corps. On ne peux pas dire que le jeune homme de fait aucun effet et Lena avait du mal à rester de glace devant lui, bien qu’elle le fasse avec la plupart des hommes, elle fondait carrément dans les bras d’Enzo! La réalité se fit remarquer quand son petit corps commença à grelotter par ce vent frais de la mer. Le latino comme un gentleman tenta de réchauffer celle-ci avec ses mains, comme si il n’y avait pas réfléchit avant un petit geste automate comme si ils se connaissaient depuis toujours. Elle passa le bout de ses doigts délicatement contre sa lèvres inférieur repensant à la douceur des siennes, elle souria et se tourna alors vers lui pour lui proposer de prolonger l’après-midi en une soirée en sa compagnie, proposition qu’il accepta au grand bonheur de celle-ci! Quand il lui dit qu’il savait cuisiner elle se tourna vers lui et le regarda dans les yeux

Dites moi monsieur Cruz, avez-vous un défaut?

Fit elle en souria et en se levant doucement, laissant la couverture a présent à moitié trempé, sur le bateau et glissa sa main dans la sienne en descendant les marches pour arrivé dans la cabine très spacieuse avec une salle de bain, une cuisine, deux chambre et un grand salon. Elle souria, toujours la main dans la sienne, elle l’attira contre lui et leva légèrement le menton en appuyant sur la pointe des pieds. Elle déposa un doux baiser au cou du jeune homme et se colla contre lui, visage contre son torse. Elle y déposa un petit bisou a nouveau et se tourna et pris ses vêtements sec et détacha les cordes du haut de son maillot se changeant pour retirer ce maillot. Elle ne prit pas son temps puis elle se retourna à nouveau vers lui a près d’un mètre de lui et mis une main sur sa hanche.

Je propose qu’on reste ici encore un peu, et ensuite on ira prendre un verre dans un pub de la ville, si ça te dit.

Elle lui fit un clin D’œil, Elle aimait bien le fait d’être à quelques kilomètres de la ville, seule avec lui sans de pression avec le boulot ou d’amis qui interrompt à tout moment cette soirée mémorable. Elle ouvrit le frigo pour en sortir quelques légumes et des trucs pour faire un repas. Elle s’assoya sur le comptoir juste à coté du frigo de la cuisine et lui fit signe de venir

La cuisine est toute à toi, Mais je te préviens chaque fois que tu devras passer devant moi pour accéder au frigo, j’aurais droit à un baiser.

Fit elle avec une petite face angélique, voulant donner une tournure un peu mignonne et amusante à préparer à manger, espérant qu’il ne trouve pas qu’elle en fait trop!

Enzo Javier Cruz avait passé un merveilleux séjour depuis son arrivée à Santorini, mais cet après-midi est de loin celui le plus réussi. Toujours sous le soleil grecque, parcourant sensiblement les mêmes rues, portant le même genre de regard ébahi sur l'architecture et l'espace spacieux des lieux, il n'y avait que la compagnie qui changeait, et la différence était de taille. Se savoir près de Lena Kostas, si près que l'on peut sentir son parfum dans ses narines était complètement enchanteur. Il y avait longtemps que l'Espagnol ne s'était pas senti aussi bien. Il se félicita de l'avoir arraché à ce bureau et à son rôle de patronne d'une entreprise florissante dans le coin. Se sentant à la base un peu coupable, même avec toute la bonne volonté du monde, Enzo en était désormais incapable. Il était avare de ses sourires, de ses éclats de rire, de ses regards, de ses baisers et de sa paume dans la sienne. Le commentateur sportif était totalement, carrément sous le charme de la jolie grecque. La Terre aurait pu arrêter de tourner et jamais, jamais il n'aurait pu s'en rendre compte.

Le vent fit changer légèrement les plans silencieux de rester doucement, bercés par les vagues, l'un contre l'autre, son dos contre le torse de Enzo, toujours vêtu d'un short en guise de maillot de bain, encore légèrement humide. En d'autres circonstances, ça aurait pu être désagréable, mais il avait oublié tout, sauf la douceur de ses lèvres. Le voilà reparti. Enzo se trouvait ridicule de fondre à ce point pour elle, mais en même temps, chaque fois qu'il posait les yeux sur Lena Kostas, l'Espagnol ne pouvait que constater toutes les bonnes raisons qui l'ont poussé à être attirée irrémédiablement par elle. Heureusement, les caresses de sa paume dans la sienne interrompit le cours de ses pensées, et il dessina avec ses doigts le contour de ses phalanges, de ses doigts. Redressant sa main, il y déposa un baiser, puis la reposa avec douceur. Le natif de Madrid ne parvenait pas à s'en empêcher. Croisant de nouveau son regard quelques instants plus tard, après être resté fixé sur le soleil qui, depuis quelques minutes, avait laissé place à la Lune, il accepta avec empressement et joie sa proposition. L'écoutant reprendre la parole, Enzo éclata de rire. Il finit par reprendre son sérieux, et répondit.

«Tu finiras par trouver, si tu cherches bien»

Estrella lui avait montrer les repas de base, et il avait appris de nouveaux plats aux États-Unis, pratique dans un loft où il vivait seul. Incapable d'ingérer à la suite la nourriture de restaurants ou d'hôtels, il mêlait les saveurs espagnoles à ceux nord-américaines, donnant une saveur singulière à ses plats. La laissant se relever, Enzo s'étira longuement, puis suivit son mouvement en se redressant, sans quitter le lien impérissable entre ses doigts et ceux de la jeune femme. Une fois debout, Enzo se laissa avec plaisir sous l'emprise des lèvres de Lena qui se déposèrent dans son cou. La regardant prendre ses vêtements, il mit quelques secondes à songer à prendre les siens. Se retournant instinctivement, il la laissa enfiler ses choses, puis passa les siennes. Ses doigts se languissaient de retrouver ceux de la jolie brunette, et le touriste écouta la proposition de le grecque. S'approchant de la belle, il passa son bras autour de sa taille et déposa un baiser sur le bout de son nez, puis murmura.

«Ou on peut prendre un verre ici, sur le navire. J'imagine qu'on peut dénicher une bouteille quelque part.»

Passant la main dans ses cheveux, il ajouta.

«Je ne suis pas particulièrement pressé de retrouver la terre ferme.»

Lena Kostas le guida jusqu'à la cuisine, et Enzo regarda par-dessus son épaule le contenu. Plein à craquer, il haussa le sourcil de surprise. Une véritable armada de gens devaient contribuer à une perfection en tout point sur le yacht. La regardant s'assoir, l'Espagnol balaya la cuisine du regard, et dénicha un couteau, et se mit à couper les légumes en fines lanières. Il rinça la salade dans le lavabo, la sécha sur un essui-tout, tout en prennant soin de se découvrir une poitrine de poulet déjà cuite, qu'il ne restait qu'à assaissonner. Concentré, il réalisa brusquement aux paroles de la jeune femme la chance qu'il avait. Enzo lui sourit, puis s'approcha.

«Déjà trois, tu ne finiras pas par en avoir marre?»

Il l'embrassa à l'embrissure des lèvres une fois, une seconde, puis sur les lèvres, tout sourire. La regardant avec cet air mignon, il caressa doucement sa chevelure.

«Te demande pas pourquoi le repas tarde si tu me regardes comme ça...»

Lena n’avait pas eu de centaines de petits copains, elle préférait réaliser ses rêves plutôt que de perdre son temps avec l’amour qui faisait souvent plus mal qu’autre chose. Elle avait beaucoup d’amis autant masculin que féminin.. Mais comme on dit les amis c’est comme les lunettes sa se raye facilement. Mais l’amour laisse parfois des blessures, parfois grosses ou minime mais elle laisse toujours place à de souvenirs, ceux de Lena ne sont pas très joyeux! C’est sans doute pour cela qu’elle ne veut jamais s’attacher par peur de souffrir encore et encore. Elle préfère largement passer son temps à se donner à fond pour son boulot que pour une relation sérieuse. Quand Enzo Javier Cruz l’avait sortie des griffes de se ‘Loser’ au club le diamant, elle avait su que c’était différent, et encore plus quand elle l’avait vu passer les portes de son bureau! Il avait se petit quelques choses qui attirer la jeune femme comme un aimant dans ses bras. Chaque gestes qu’il faisait craquer le belle qui se surprenait à avoir le cœur battant la chamade et les frissons de plus en plus régulier lorsqu’il passait ses mains sur elle.

Elle avait enfiler sa jupe et sa camisole légère mais opaque, ayant trop chaud maintenant pour mettre sa chemise et son veston, elle se sentait à l'aise ainsi surtout qu’il n’avait qu’Enzo pour la voir ainsi, et c’était une tenue qu’elle porterais pour aller en boite sans doute. Elle c’était détacher de lui pour enfiler ses vêtements mais regrettait maintenant se geste et aurait aimer prendre ses douces lèvres avec les siennes et l’embrasser une éternité pouvant oublier sa faim pour un seul de ses baiser! La Patience était une qualité de la jeune femme et elle saurait attendre le bon moment, c’est ainsi qu’elle lui sortit pleins d’ingrédients pour que celui-ci leur prépare à manger! Bah quoi c’était lui qui c’était proposer hein!. Elle lui souria et s’appuya contre le comptoir avant de se soulever de façon à venir coller ses fesses sur le comptoir et s’asseoir doucement. Petit regard angélique dans ses yeux et sourire malin au coin des lèvres, Elle lui proposa une sorte de jeux. Elle avait sortie beaucoup d’ingrédients mains pas tous, et chaque fois qu’il passerait du four au frigo, passant devant elle.. Elle aurait droit à un baiser. Elle se demanda si il se plierais aux règles du jeu ou si il trouverait que c’était trop.. Mais elle l’avait déjà proposé, c’était trop tard!

Elle le regarda s’avancer pour prendre dans la cuisine, elle prit la télécommande et alluma le système de son pour mettre un peu d’ambiance mais pas trop tout de même, la chanson de Trick Me par Kelis passant à la radio. Il lui proposa alors de prendre un verre à bord du navire, comme si il ne voulait plus le quitter puis déposa un baiser sur le bout de son nez, ce qui fit sourire celle-ci qui le regarda commencer à préparer le repas pour deux.

Et bien je propose alors qu’on rentre au port uniquement quand ont a plus de nourriture ou que t’en ai marre de moi!
Fit elle en rigolant, rêvant bien sure! Elle regarda la minutie qu’il mettait à préparer le repas et elle fut un peu intriguer, puisque ce n’était pas commun un garçon qui cuisinait et aussi bien!

De qui te viens ta passion pour préparer les repas, faire la cuisine?!

Fit elle en prenant un moreau de légumes le croquant etre ses dents, et portant son attention sur lui. Elle trouvait tout parfait chez lui, bien qu’elle savait son penchant pour les drogues, elle arrivait facilement a les oublier en voyant tout le reste! Elle se mordit la lèvres puis celui-ci vint vers elle lui offrir les trois baisers qu’elle méritait. Il lui demanda si elle n’allait pas avoir marre de tout ça si il continuait et elle se fut muette, répondant par un simple geste. Elle pris son t-shirt et l’attira vers elle en prenant son couteau et le déposant sur le comptoir tout en l’embrassant. Elle passant ses mains autour de son cou puis un peu dans ses cheveux partageant un baiser très passionner, Elle quitta alors ses lèvres pour appuyer son front contre le sien et le regarder dans les yeux.

Tu peux prendre tout ton temps, le repas m’importe peu.. Puis c’est pas de ma faute si j’aime bien te regarder cuisiner.

Elle se mordit la lèvres et passa sa main dans son dos frôlant se doigts contre son dos, puis se redressa sur le comptoir quittant son corps coller contre le sien pour le laisse faire à manger.

Enzo Javier Cruz et Lena Kostas. Si simple, mais si complexe à la fois. Si délicieux, mais si effrayant à la fois. Le jeune homme ne se rappelait pas d'avoir déjà été aussi épris de quelqu'un, et encore moins d'une personne qu'il ne connait que depuis trois jours. La brunette n'était pas n'importe qui, mais l'Espagnol avait peur. Peur de ces sentiments puissants qu'il ressentait déjà pour elle, de son rythme cardiaque qui s'accélère quand elle s'approche de lui, de son souffle court quand elle se blottie contre son torse, le sourire permanent qu'il affiche quand elle pose ses lèvres sur les siennes. Il a peur de connaître un bonheur si intense que de craindre à tout moment de le voir s'envoler, se dissiper, comme les merveilleuses illusions que lui apportaient sa came. Loyale partenaire, toujours à l'affût d'un coup de blues, lovée dans l'une des poches de son blouson. Blouson qu'il n'avait pas avec lui sur le yacht Kostas, car de toute façon, Enzo avait tout ce qu'il avait besoin: de l'eau, de la nourriture, de l'espace et plus particulièrement la jolie grecque qui le faisait fondre.

Elle était radieuse, son regard brillant et ses lèvres encore gonflées par leurs baisers. Se sentant gonflé d'orgueil d'être la raison de son sourire qui semblait indestructible sur ses lèvres roses, il se laissa prendre à l'observer un peu trop longtemps. Enzo finit par passer la tête dans son t-shirt blanc qu'il enfila tandis qu'elle l'amenait direction la cuisine. Le jeune homme eut l'occasion de traverser le boudoir, le fumoir et un espèce de salon, du moins, il le croyait. Tout était décoré avec goût, sophistiqué, moderne, mais classique à la fois. Les Kostas avaient un goût sûr pour choisir des perles, comme ce canapé ancien qui capta son attention hors Lena pendant quelques secondes, ce qui s'avérait être un exploit. S'employant par la suite à ce repas qu'il lui avait promis, le jeune homme se mordit la lèvre, chose qu'il faisait lorsqu'il était concentré, puis s'affaira à la tâche pendant un moment avant de se tirer de ses songes. Il avança doucement, se sentant à l'aise près de Lena, qui mettait à sa disposition des ingrédients on ne peut plus frais, délectable, et facile à cuisiner.

Le jeu que l'entrepreneure lui proposa le fit sourire. Elle semblait lire dans ses pensées, lui qui n'en pouvait plus d'être si loin de ses lèvres et de son parfum. Après avoir fini de couper un avocat, Enzo, tout sourire, s'approcha de la jeune femme, se faufilant entre ses jambes, tandis qu'elle était assise sur le comptoir, puis la regarda, simplement, l'embrassa sur le front, avant de retourner un moment à ses affaires. Enzo entendit une mélodie se dessiner tandis que Lena prennait l'initiative de mettre de la musique. Affairé à éponger la salade fraîche, avec des pousses, il répondit simplement à la proposition par ce qu'il jugeait comme une amélioration. L'Espagnol n'avait pas d'arrières-pensées, mais appréciait particulièrement l'idée de profiter de cette proximité et de cette intimité que leur offrait le navire. L'entendre être pleinement d'accord le fit sourire, et Enzo releva la tête, les yeux pétillants de malice.

«Ça ne me pose personnellement pas de problème, mais si Santorini se retrouve sans Lena pendant quelques jours, je n'ai pas envie de subir les foudres de ces malheureux...»

Il lui tira joyeusement la langue, puis entreprit de mettre en lamelle une mangue et deux pommes vertes. Une salade lui convenait parfaitement, et Lena Kostas ne semblait pas s'en sentir déstabilisé. Enzo lui ferait cette mayonnaise espagnole que faisait Estrella quand elle avait les moyens d'en acquiérir les ingrédients.

«Au début, c'était plus une relation amour/haine qu'une passion, et même davantage une nécessité.»

Marquant un silence, il continua.

«Ça me vient de ma mère»

Oh, la vilaine fille qui picochait dans ses légumes frais. Bon, les siens, mais ceux qu'il préparait. Il attrapa sa main, apposa un baiser, puis éclata de rire. Il était incroyablement joyeux. S'approchant d'elle, incapable de faire autrement, il fut conquis par Lena qui se mordit la lèvre, puis apposa ses trois baisers réglementaires. Mentionnant qu'elle se lasserait avant lui de ce jeu qu'elle avait proposé, elle lui prouva ses tords en l'attrapant avec fougue par le chandail, l'approchant de ses lèvres et Enzo se laissa entrainé dans un baiser fiévreux. Dieu qu'il l'aimait. Aimait, oui. Plus qu'elle lui plaisait, il l'aimait. Doux Jésus, aimer. Le vrai et de vrai sens du mot aimer. Il la laissa enlacer son cou, puis lui passa ses bras autour de sa taille fine. Il souriait contre ses lèvres, ivre de bonheur, ivre de joie.

«Te gêne pas, alors»

Quittant ses bras presque avec regret, il alla chercher quelques ingrédients et, en deux temps trois mouvements, concocta une mayonnaise sommaire, mais qui se mariait très bien avec les légumes frais qu'il avait mis dans un saladier. Tomates cerises, avocat, mangue et pommes vertes. Concentré, Enzo passa la main dans ses cheveux, puis tourna la poitrine de poulet dans la mayonnaise, puis le découpa en lanières. Frais, mais onctueux, il ne manquait que la douceur des lèvres de Lena Kostas pour se sentir parfaitement satisfait.

«On remercie le chef?»

La jeune femme était à son plus naturel, les cheveux dans tout les sens et le maquillage disparu avec la baignade de cet après-midi. Le pire c’est qu’elle ne s’en rendait même pas compte vu combien elle se sentait bien dans les bras du bel espagnol. Lena n’est pas non plus le genre de fille à passer des heures devant son miroir, ou à mettre des tonnes de maquillage pour ressembler à une autre qu’elle-même. Elle passa une main dans ses cheveux quelques peux entremêler et à l’odeur de la mer de Santorini.. elle aurait bien pris une douche mais se sentait bien tout de même, Elle admirait le jeune homme préparer le repas et s’étonna de savoir qu’il était célibataire. Elle souria et se sentant un peu inutile, elle lui passa les ingrédients qu’il avait de besoin pour son plat, qu’elle ne connaissait pas. Il lui ferait découvrir l’un de ses plat tout comme elle lui avait fait découvrir les endroits qu’elle aimait le plus, ça plaisait à Lena. Elle aimerait tout connaître de plus, son passé.. son présent et son future, ses rêves, ses goûts.. et ce à quoi il pensait. Il lui demande alors; On remercie le chef? Ce qui fit grandement sourire la belle croyant que tout ses baisés l’ennuierait mais au contraire il en redemandait. Elle s’approcha de lui et l’embrassa avec douceur et passion.

Tout ça m’a l’air délicieux.

Elle voulait tellement de choses, qu’elle commençait à avoir peur de trop s’attacher au jeune homme. Elle savait qu’il était en vacances, qu’il allait reprendre l’avion direction les Etats-Unis et qu’elle ne le reverrait plus ou alors que très rarement. Mais bizarrement cela ne la bloquait pas, au contraire elle se jetait à fond, profitant de l’instant présent. Elle était assise sur le comptoir le jeune homme entre ses jambes pour être d’avantage près d’elle et avait ses lèvres coller contre les siennes, les quittant pour le regarder dans les yeux un moment de silence, puis se mordit la lèvres en le regardant retourner faire sa salade. Elle souria en baissant les yeux l’écoutant parler de sa passion, avouant que c’était plus une nécessiter qu’une passion et que c’était sa mère qui lui avait tout montrer. La jeune femme leva la tête vers lui et se leva venant derrière lui, elle passa ses bras autour du torse du jeune homme et vint déposer un baiser dans son dos, respirant le parfum de celui-ci qui était collé à son chandail.

Tu veux me parler d’elle?

Fit elle en restant ainsi collée à lui et le laissant terminer son plat, elle se détacha avant de prendre place à face à lui sur la table banquette du bateau, Elle pensa à sa phrase quand il dit que si Santorini se trouvait sans Lena, ça allait être chaud.. ça la fit sourire. Elle lui aurait bien proposé d’entrée le matin en ville et de finir la soirée et la nuit à bord bateau mais elle n’en dit pas un mot. Elle s’assoya face à lui avec son plat devant elle, elle souria ça avait l’air délicieuse. Elle garda ses distances pendant le repas ne voulant pas trop faire accroché à lui. Elle prit une bouchée de la salade que le cuistot en lui avait préparé. Elle trouvait tout cela tout simplement délicieuse et passait son temps à le regarder dans les yeux tout en mangeant. Vers la fin du repas, elle finie alors par passer une mèche derrière son oreille et vint déposer sa main sur celle d’Enzo.. la table les séparent, elle afficha un léger sourire quelques peu rougissante.

Tu me le dit si t’a pas envie de parler de certains trucs, je suis de nature curieuse alors je pose beaucoup de questions.

Elle souria et se leva pour ranger la vaisselle dans le lavabo, bien oui si il préparait le repas c’était à elle de faire la vaisselle! Elle regarda se lever pour l’aider, elle fit couler le jet d’eau formant des bulles avec le savon, elle en prit dans sa main et en mis dans le visage d’Enzo en rigolant, elle fit un petit ‘Oupss’ et rigola à nouveau. En s’avançant vers lui pour retirer la mousse de son visage petit à petit en faisant une petite moue pour pas qu’il réplique à ce geste, elle lui fit un clin d’œil avant de se reculer et commencer la vaisselle, bien qu’elle la fit vite fait rapidement pour en finir. Son portable avait sonner toute le long du repas et la jeune femme l’avait arrêter chaque fois pour que ça tombe sur ça boite vocale s’excusant à chaque fois puis quand elle l’entendrit vibrer à nouveau elle alla le fermer.

Désolée pour le portable

Avec un sourire sincère, souhaitant qu’il ne la juge pas sur le nombre de fois que son palm sonnait.

Enzo Javier Cruz croyait être mort et au paradis. Il était heureux comme il ne l'avait plus été depuis des lustres, il était comblé comme jamais, du moins, aussi longtemps qu'il se souvienne, il était bien, avec une compagne dont il n'aurait pu que rêver. Lena Kostas rayonnait, naturelle et pétillante. Les grands yeux sombres du jeune homme ne parvenait pas à se détacher de sa jolie interlocutrice, ses cheveux mi-longs légèrement fou, son visage dépourvu de maquillage, elle était autant sinon plus belle. Peut-être était-ce le fait qu'il avait le choix de la prendre dans ses bras, de la blottir contre son torse, et de l'embrasser. Enzo était conscient de sa chance, et ne tenait pas à la laisser passer. La beauté de sa compagne était légendaire, et même si le maquillage amplifie l'effet selon certaines, certains, l'Espagnol la trouvait sublime ainsi. C'était le mot, sublime. Il la regarda du coin de l'oeil passer la main dans ses cheveux, puis sourit, reprennant son rôle de cuistot, se reconcentrant automatiquement sur la chose. Enzo ne se rendit même pas compte du regard de Lena qui le suivait. Ravi de pouvoir lui faire voir ce talent caché, il prenait sans réfléchir les légumes qu'elle lui tendait, puis écouta ses paroles, après avoir profité d'un baiser qu'elle seule parvenait à rendre aussi fantastique. Il en frisonnait presque.

Ayant la jeune femme tout près, Enzo l'embrassa, sourire aux lèvres, qui s'élargit à ses propos. C'est vrai que, au fond, l'odeur lui semblait alléchante. Il passa la main dans le bas du dos de Lena, puis de l'autre, s'occupa à verser la salade dans deux assiettes, oubliant tout le reste. Ça paraissait si superflu, si éphémère, la terre ferme, le monde, sinon eux. Il la laissa reprendre sa place sur le comptoir à regret, puis déposa la poitrine sur le dessus de la salade, versant le reste de la vinaigrette sur le dessus, légèrement rehaussé de limette. Enzo retourna entre les jambes de la demoiselle, se languissant déjà d'elle, et l'embrassa à nouveau, encore et encore. Pourrait-il un jour s'en lasser? Impossible. Il répondit à sa question, mentionnant la grande part qu'avait Estrella dans ses capacités culinaires. Il fut touché par la demande de Lena de lui en parler plus, tandis qu'il se dirigeait vers les assiettes, elle posa ses lèvres dans son dos. Il déposa donc un baiser sur le bout de son nez, il continua donc dans cette direction, le rendant légèrement nostalgique, mais tellement fier.

«Ma mère. Je ne me rappelle même plus quand j'ai parlé d'elle la dernière fois»

Il sourit, puis continua.

«Estrella Cruz, une femme forte, intelligente, bonne aussi, on avait à peine de quoi se nourrir qu'elle accueillait les deux orphelins du village une fois par jour pour leur donner une chance de survivre»

Posant les épices, poivre et sel sur sa salade, il continua donc, à la demande de Lena.

«Elle aurait voulu me laisser vivre ma vie, mes propres expériences, mais avec mon père si loin, elle avait besoin de quelqu'un pour veiller et ramener un peu d'argent. J'ai voulu lâcher l'école, mais non, elle n'a jamais accepté. Je lui en voulais de se laisser dépérir pour que je continue d'apprendre, mais j'en suis plutôt content, aujourd'hui.»

Se retournant, les assiettes en main, il alla les déposer sur la table tout près, et déplaça la chaise pour laisser la demoiselle Kostas prendre place, puis s'installa lui même, et conclut.

«Ma mère, j'ai un respect infini pour elle, et je suis certain qu'elle s'en sort encore»

Il sentit la main de Lena sur la sienne, et sourit. Ils continuèrent donc de manger, parlant doucement.

«Et vous, mademoiselle Kostas, vos parents sont-ils aussi merveilleux que leur fille?»

Ils finirent leur salade, légère, mais suffisante, et Enzo se leva pour tout débarasser. Ce n'était pas un fardeau pour lui, une habitude. Il vut qu'elle était mal à l'aise, mais lui sourit, lui signifiant que ça lui faisait plaisir. La vilaine fille en profita, quand il eut les mains immergées, de lui mettre de la mousse sur le visage. Alors qu'il voulut se venger, elle lui fit un air désolé, une moue désarmante. Enzo fit la grimace, puis l'air mutin reprit sur son visage. Sortant ses mains de l'eau, il attrapa la taille de la jeune femme de ses mains humides, puis la serra contre lui en lui volant un baiser. À ce moment, le portable sonna, ramenant brusquement Enzo Cruz à la réalité.

Il y avait un monde à quelque part, l'univers ne se résumait pas à eux deux. Ce fut une terrible déception, ou presque.

Lena vint apposer ses lèvres contre le dos du jeune homme juste un petit instant et l’écouta parler de sa mère. Elle savait juste dans son ton de voix qu’il n’était pas très à l’aise d’en parler, elle ferma les yeux, coller contre lui en l’écoutant parler d’elle. Elle ouvrit les yeux et prit place à la table et continua à l’écouter tout en mangeant quelques bouchées de sa salade, qui était tout simplement succulente! Elle le regarda dans les yeux tout en écoutant son histoire, elle était contente d’apprendre à le connaître d’avantage.

Ta mère à l’air d’une femme forte comme je rêve de le devenir. Elle a fait passer sa famille avant tout et je trouve cela remarquable.

Elle souria et baissa les yeux sur sa salade et pensa à sa mère à elle.

Tu devrait aller la voir je crois, tu sais c’est important et elle serait sûrement ravie de te voir depuis tout ce temps.

Oui parce que même si Lena saurait disputer avec sa mère ou qu’elle ne l’aurait pas vu depuis un moment.. elle préférerait ça à leur absence. Quand Enzo lui demanda si ses parents étaient aussi merveilleux qu’elle.

Mon père était un homme d’affaire mais il prenait toujours le temps de manger une glace avec moi le soir, ou alors de passer du temps avec moi. Il me racontait ses voyages et des histoires de petites princesses et même si j’avais passer l’âge, je l’écoutait parler parce que c’était notre moment à nous, chaque soir il me donnait un bisou d’esquimau et me souhaiter de faire les plus beaux rêves, parce que rêver est l’une des choses les plus merveilleuse.

Elle souria légèrement un peu mal à l’aise, elle n’avait jamais parler de ses parents à personne et se sentait un peu bizarre.

Pour ce qui est de ma mère, elle était chef cuisinier dans un restaurant très populaire de la ville.. Elle avait un peu de mal à faire sa place puisque c’est une femme et qu’ici les chefs sont pour la plupart des hommes. Quand mon père devait travailler tard le soir, elle m’emmenait au restaurant et je coupais les légumes et me laissant l’aider à faire les desserts et licher la cuillère de chocolat. J’adorais ça, mes parents avaient beaucoup d’argent je doit l’avouer mais on vivait avec très peu, on était pas des bourges qui aimait montrer notre argent. Mes parents donnaient des dons à tous sortes d’organismes et à l’hôpital. Ils aiment être engagés dans la ville et aider les autres.

Oui aux yeux de Lena ses parents étaient parfaits, malgré les disputes ils vivaient d’amour, et c’était magnifique.. Un petit soupir s’échappa de la bouche de Lena, elle avait dit tout cela très rapidement comme pour s’enlever le poids de sur ses épaules. Ça faisait de nombreuse année qu’elle n’en avait pas parler à personne préférant qu’on la voit comme une femme forte. Elle leva les yeux vers lui

Ils sont décédés lors de mon 13e anniversaire, d’un accident de la route.

Fit elle d’un trait, en baissant les yeux.. elle termina sa salade sans un mot caressant la main de celui-ci, puis elle lui fit un sourire et en se levant elle lui donna un bisou du bout des lèvres. Elle se leva et commença a jouer avec la mousse de l’eau pour faire la vaisselle avant que son portable ne sonne encore une fois, ça énervait beaucoup la jeune femme!

Lena appuya sur la touche pour que son téléphone se ferme en n’ayant marre de tous ces coups de téléphone, Elle était toujours dans les bras d’Enzo et sentait ses mains dans le bas de son dos. Elle le regarda dans les yeux un moment avant de reprendre leur petite chamaillade avec la mousse, elle rigola sans je gênée succombant aux chatouilles du jeune homme. Elle se colla contre lui et colla ses lèvres aux creux de son cou pour camoufler ses petits cris de torture et de rigolade. Elle avait un grand sourire aux lèvres quand elle cessa de rigoler, ça faisait du bien de rire un coup! Elle s’avança d’avantage pour l’embrasser avec passion et fougue, elle passa ses bras autour de son coup alors que lui les avait autour de sa taille et Lena ne quitta pas ses lèvres, comme si c’était la dernière fois qu’elle pouvait sentir leur douceur contre les siennes, elle marcha de reculons tout en l’embrassant comme si elle voulait les quitter mais n’en était pas capable. C’est à se moment que ses fesses cogna contre la table, elle l’embrassa encore cependant en restant au même endroit, ne pouvant reculer d’avantage. Elle arrêta de l’embrasser et le regarda dans les yeux en passant ses bras dans le bas de son dos sous son chandail en le caressant du bout des doigts, petit geste d’affection. Toujours le regard perdu dans le sien, elle leva les bras en lui retirant son chandail, hésitante un moment, puis ses lèvres trouvèrent le chemin de celle du bel espagnol!

Dsl c'est nul mais jdoit aller bosser jsuis en retard alors jai tout fait vite, puis au fait il est moche ton ava! *Tire la langue*

Elle contre lui. Lui tout contre elle. Enzo Cruz et Lena Kostas. Y avait-il réellement quelque chose de mieux au monde que de passer un moment en compagnie de la plus jolie des brunettes? L'Espagnol en doutait fortement. Rien qu'à sentir ses lèvres sur son dos, le serrant doucement tandis qu'il tentait tant bien que mal d'énoncer clairement qui était Estrella Cruz à ses yeux de fils éperdu d'une fierté sans borne à être né d'une femme aussi forte et bonne pour tous. Il se retourna légèrement pour faire face à sa compagne, et aperçut les lueurs d'intérêts perler dans ses yeux. C'était réconfortant, et cela l'aidait à continuer, continuer encore et encore. Présentement, il ignorait comment cesser de faire l'éloge de sa mère, et appréciait d'avoir une discution sérieuse avec Lena, qui lui faisait le petit velours de croire qu'une fois sur la terre ferme, ils ne s'oublieraient pas comme ça. Il en serait tout bonnement incapable. Elle était si.. si... si Lena Kostas.

«Je crois que tu es très bien partie pour aller dans cette voie, Lena»

dit-il en souriant et en l'embrassant doucement à la commissure de ses lèvres fines.

Il la regarda sourire puis baisser les yeux sur la salade. Enzo, surpris, se rendit compte qu'il ne faisait que jouer avec la nourriture, la bouche trop occupée à parler. Durant un silence qui dura le temps d'une réplique de l'entrepreneure, il engouffra quelques bouchées de ce repas, se félicitant intérieurement d'avoir su faire si bien la salade. Remerciant silencieusement les conseils judicieux de sa mère, Enzo continua.

«Aller la voir...»

C'était simple, si simple. Mais ça lui paraissait hors de portée, si loin. Que pourrait-il lui dire, faire, réagir devant sa famille qui aurait vieilli durant son absence. Étaient-ils encore tous vivants? Enzo sentit une boule se former dans sa gorge. Il plongea son regard dans les yeux de Lena, et eut un léger sourire.

«Je t'avouerai que ça me fait un peu peur, rien que d'y penser, mais j'y songerai, promis»

Terminant finalement son assiette tandis qu'il écoutait, visiblement intéressé, les paroles de la demoiselle Kostas. Ses parents lui semblaient tout aussi idyllique l'un que l'autre, et allant de pair. Des Grecs de la bourgeoisie, mais pas des crâneurs ou des gens superficiels comme on en voit trop souvent. Enzo passa la main dans ses cheveux, puis serra la paume de Lena dans la sienne, la caressant doucement. En entendant son soupir, le touriste songea à ce sujet qui l'attristait plus tôt. Sa mine se déconfit pendant quelques secondes, et le commentateur sportif mordit sa lèvre, mal à l'aise. Pour confirmer ses soupçons, elle croisa son regard et lui annonça clairement qu'ils étaient morts il y a quelques années. Enzo cessa ses caresses, mais serra fermement, mais affectueusement, la main dans sa paume.

«Je t'envie un peu cette force qui te rend si merveilleuse. La détermination et le cheminement que tu as fait, je suis certain qu'ils sont fiers de toi, là où ils sont, de voir leur fille grandir en beauté, en intelligence et brillante en affaire»

Il détestait les solemnels «Mes condoléances» ou «Je suis désolé pour tes parents». Enzo Cruz ne croyait pas dans la pertinence de tels propos, et eut un sourire réconfortant pour la jeune femme. Il pensait chaque mot qu'il lui avait dit, et la laissa dans un silence de deuil, tandis qu'elle caressait doucement sa main. Puis, toujours en silence, ils se levèrent simultanément et firent la vaisselle. La mousse qui atterit sur son nez le fit rire doucement, mais Enzo ne resta pas les bras croisés sans demander son reste. Puis, quelques instants plus tard, le portable de Lena sonna. L'envoyant répondre, il termina sans problème la corvée, et fut prêt à l'accueillir quand elle revint quelques instants plus tard.

Enzo serrait la jeune femme contre lui. Avec la mousse qu'il restait, ils terminèrent sur une note joyeuse leur bataille, puis le jeune homme sourit à sentir son sourire et son rire se perdre dans son cou tandis que l'Espagnol s'évertuait à la chatouiller, sentant ses hanches sous ses mains. Puis, sans crier gare, Lena s'empara de ses lèvres, et engagea un baiser fiévreux qu'Enzo ne se gêna pas pour accentuer. Il passait la main dans la chevelure brune et légèrement ébourifflée de la jeune femme, miss Kostas passait les mains autour de son cou. Enzo la souleva doucement, puis souriant contre ses lèvres, il les quitta à bout de souffle, mais Dieu sait qu'Enzo Javier Cruz a du souffle. Puis, la demoiselle prit l'initiative de passer les mains dans le bas de son dos, soulevant l'étoffe qui recouvrait le corps de l'Espagnol. Les doigts sur sa peau, le frôlant, procurèrent au brun un frisson. Il joignit avec plaisir les lèvres de la jeune femme quand elle balança son chandail plus loin. Entraîné, il entreprit de passer ses mains sous celui de la demoiselle, parcourant chaque parcelle de sa peau, puis finit par soulever tranquillement, du bout des doigts, le chandail.

Il avait tout oublier, sauf le bien être d'être avec

elle

...

Je suis sincérement désolée pour le retard et le médiocre post. :$

Que demander de plus qu’une magnifique journée en charmante compagnie, à discuter rigoler et à oublier tout le reste du monde, car oui c’est ce qui arrivait à la chère Lena quand elle se trouvait en compagnie du jeune homme. Il était tellement différent, il était cultivé bien élevé il ne parlait pas que de lui-même et s’intéressait à connaître d’avantage la Lena que personne ne connaissait vraiment. Elle était plutôt du genre discrète, elle évitait de parler de son enfance, de ses parents, de ce qu’elle aime.. elle ne parle que du moment présent avec les autres mais avec Enzo c’est comme si elle lui laissait voir qui elle était vraiment, elle n’avait pas de difficulté à lui laisser voir ce côté d’elle qui est tout aussi fragile mais fort à la fois. Elle était tout aussi contente d’avoir une discussion sérieuse avec lui, sachant très bien que ce ne pouvait pas être qu’une aventure d’un soir, elle le ressentait et c’était ce qui l’aidait à se rapprocher autant de lui. Elle afficha un sourire quand il lui dit qu’il croyait qu’elle va dans la même direction que sa mère, ce qui fit sourire la demoiselle qui vint coller son nez contre celui du jeune homme pour le frôler doucement tel un esquimau. Puis ils parlèrent du fait qu’il devrait aller voir sa mère.

Tu sais la vie est tellement courte, je rêverais de pouvoir reparler à ma mère malgré toute ces années d’absence, mais je t’avoue que moi aussi ça me ferait peur. Qu’elle me voit à cet âge, ce que je suis devenue et mes rêves actuels. Je comprends tes craintes mais je crois que ça en vaut le coup! J’aimerais bien t’aider mais je ne peux pas t’être bien utile pour ça. Si un jour t’est prêt et que tu ne veux pas y aller je pourrais t’accompagner, à deux c’est plus facile parfois.

Elle disait surtout ça pour qu’il ait confiance en lui et qu’il comprenne qu’aller voir sa mère serait sans doute la meilleure des décisions. Elle fut surprise qu’il s’ouvre autant à elle comme si ils se connaissaient depuis plusieurs années que c’était naturel. C’est à son tour qu’elle parla de sa famille à elle, ils étaient très différents lui vivant de pauvreté et elle de richesse mais sans la prétention des riches, lui ayant une grande famille et elle étant fille unique. Elle enviait secrètement le jeune homme car elle aurait bien aimer avoir une grande famille et que ses parents soient toujours vivant. Elle lui parla de ses parents entant que couple mais aussi en tant que personne, elle en parlait avec fierté. Elle souria au jeune homme et l’écouta parler sa main dans celle du jeune homme séparés par la table avec ce petit contact de la main, elle souria à celui-ci quand il arrête ses caresses et qu’il prit sa main plus fortement comme si il ne voulait pas la lâcher. Quand il l’a complimenta, elle se mit légèrement à rougir et de mordilla délicatement sa lèvre inférieure.

Je dois t’avouer que même si je parait très forte, je suis tout aussi fragile.. C’est sans doute pourquoi mon père m’appelait sa petite poupée de porcelaine. Parce qu’elles ont l’air dure et forte mais qu’elles se brisent facilement.

Elle afficha un léger sourire au coin de ses lèvres, elle baissa ses yeux sur son repas qu’elle avait presque terminé et releva les yeux vers le jeune homme. Éteignant son portable qui vibrait à nouveau, elle se leva pour mettre les assiettes dans l’évier en même temps que lui, côte à côte voulant tout les deux faire la vaisselle, il prit la place pour laver comme un gentleman. Elle prit un linge sec et commença à essuyer en éteignant définitivement son portable qui les interrompait à tout les deux secondes. Elle mis sa main dans l’eau pour envoyer de la mousse au visage du beau brun. Elle se mit à rigoler quand il l’a prit dans ses bras, ses mains suivant ses hanches et la chatouillant. Elle rigolait contre son cou, ses lèvres frôlant sa peau, elle prit les mains du jeune homme pour qu’il cesse de la chatouiller et entrelaça ses doigts au siens, elle le regarda dans les yeux. Elle s’empara de ses douces lèvres pour un baiser passionné, accentuer par chacun d’eux!

Vous allez me rendre dingue Monsieur Cruz!

Fit elle avec un petit sourire adorable passant ses mains sous son chandail avant de lui retirer, elle recula tout en l’embrassa et se cogna contre la table. Il prit l’initiative de la levée pour l’appuyer ainsi sur le rebord et lui retira à son tour le petit haut qu’elle portait. Elle frissonna en sentant la douceur de ses mains contre sa peau à moitié nue. Elle se mordit la lèvre tout en le regardant intensément dans les yeux, elle l’attira contre elle l’entourant de ses jambes pour l’avoir tout près d’elle.

» Enzo Cruz
» Enzo Javier Cruz
» Cruz control ^^