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| Enzo Javier Cruz | |
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Enzo J. Cruz [ DRUG | FAMOUS ] "La célébrité est notre mot d'ordre, la drogue notre passion"
Nombre de messages : 61 Age : 34 [PÉCHÉ CAPITAL] : ORGUEiL & LUXURE [VICE] : Les stupéfiants Date d'inscription : 08/04/2008
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| Sujet: Enzo Javier Cruz Mar 8 Avr - 5:59 | |
| I d e n t i t y _ c a r dPrénom(s) | Nom(s) : Enzo Javier Cruz Surnom(s) : Enz', Cruz, don Juan & j'en passe Âge | Lieu de naissance : 26 ans, Madrid, Espagne Emploi | université : Commentateur sportif, et pour faire rentrer le pactole, dealer Groupe : [ DRUG | FAMOUS ] Péché capital | luxure, envie, colère, paresse, orgueil, gourmandise, avarice : Luxure, que ce soit de femmes, de drogues ou d'alcool, il n'a pas de limites. M o r e _ a b o u t _ y o uPhysique | personnalité : Enzo Javier Cruz est la définition même du latino stéréotypé au maximum. Pourtant, ça l'amuse de se trouver quelques différences. Grand, athlétique et sculpté à même les muscles, le jeune homme possède des épaules larges et imposantes, des bras puissants et des mains viriles. Possédant des cuisses musclés et des mollets forts, il a la carrure de ces hommes de guerre d'il y a bien longtemps. Ses cheveux sont d'un noir ébène, mi long, assez ébourifflé, mais doux et soyeux quand on y passe la main. Son teint est hâlé à longueur d'année, sans qu'Enzo ne lève le petit doigt pour le conserver. Sa manie de toujous bouger à faire quelque chose, nager ou courir, ne lui nuit pas non plus. Disons que l'adrénaline est l'héroïne gratuite qu'il consomme par pur plaisir. Son visage est finement découpé, une mâchoire saillante, un menton bien dessiné, des lèvres minces, d'un rose léger, un nez aquilin, imposant, marquant ses origines espagnoles ainsi que de grands yeux noirs brillants de mille feux, comme l'électrum brillant des colonnes égyptiennes à leur gloire. Il ne connait pas la pilosité, et c'est à peine si quelques poils hirsutes poussent sur son visage. Autrement, il a une fine cicatrice près des os de son bassin, du à une chute plus jeune, ainsi que quelques points de beauté à l'occasion. D'un côté moins narcissique (bien que cela ne gêne pas notre Espagnol), Enzo est un jeune homme qui a tendance à tout prendre trop au sérieux, et de ne surtout pas réfléchir avant d'agir. Impulsif, il préfère foncer avant de penser, ce qui lui a valu plus d'un problème depuis sa tendre enfance. Sa première prise de came était une impulsion, alors comme exemple, on peut pas trouver mieux. Carburant à l'alcool, la caféine, la seule chose qu'il ne touche pas sont les cigarettes. Bon, un bon cigarette cubain à l'occasion, ça ne se refuse pas, mais pour le reste, très peu pour lui. Il préfère le café, fort, en espresso. Expressif, Enzo a de la difficulté à cacher ses émotions, encore plus à vif quand il consomme. Le jeune homme est également incapable de mentir, à moins que dire la vérité ne l'embourbe dans un pétrin où il n'aurait plus ses fonds. Consciencieux et perfectionniste, il mène ses affaires avec un grand sérieux, et c'est la seule chose qui lui fait croire qu'on ne mettrait jamais à jour son petit trafic de stupéfiants. Méthodique et brillant, il sait comment se mettre à l'avant et quand il est temps de disparaître. Cela joue fortement en sa faveur, et il en est venu à la même conclusion. Amoureux de la gente féminine, il les aime presque toute, bien que les brunes gagnent plus facilement son coeur, et à défaut d'être complètement infidèle, se laisser lousse quand il n'en courtise pas une en particulier. Il faut dire qu'il lui suffit d'un peu de rentre dedans, ou d'un bon sniff, pour qu'elles lui tombent automatiquement dans les bras. C'est ça, la vraie vie! Histoire | de la naissance jusqu'à aujourd'hui : [PROCHAIN POST]Goûts : Les goûts du jeune homme sont ceux d'un garçon qui a passé 17 ans en Espagne. Il est friand de la nourriture préparée avec la dextérité de sa mama et difficile de lui faire avaler n'importe quoi. D'ailleurs, il ne s'est jamais remis de la différence culinaire entre son Madrid natal et les États-Unis. Il rêve constamment des repas d'Estrella, sa mère, de ce pain maison dont l'odeur embaumait sa maison de longues heures durant, quand elle parvenait à réunir suffisamment d'argent pour le faire. Très près de sa famille avant la terrible chicane qui l'expatria en Amérique, il n'a jamais revu sa petite soeur, Eulalie, et son frère cadet, Galeno. Il n'en a même plus eu de nouvelles, chose légitime puisqu'il n'a pas laissé d'adresse. Enzo espère secrètement les revoir un jour, mais n'y compte guère. Appréciant la richesse de la société américaine, il apprécie les luxes qu'il a pu se payer en immigrant dans ce pays, comme les voyages qui le mène à Santorini, en Grèce, qui lui rappelle vaguement ses origines. Grand fanatique de sport (on obtient pas un corps découpé au couteau comme la sienne en se vautrant devant un téléviseur écran plat), il les pratique tous, en passant du foot au basket, en passant du hockey à la danse. Danseur émérite, inné chez lui, il peut apprendre en moins de deux les pas complexes des danses comme la salsa, pour ne nommer qu'elle. Il ignore d'où ça lui vient, mais du moment que ça charme les femmes, il n'y voit guère d'inconvénients. Vie sociale | amitié et amour : Les amitiés d'Enzo sont plutôt basés sur la dépendance, ce qui n'est pas forcément sain. Le jeune homme fréquente la jeunesse dorée qui se procure une dose à défaut de pouvoir dilapider autrement la fortune de leurs aïeuls. Il s'y plait franchement, et a tout oublié de la vie modeste qu'il faisait en Espagne. Cependant, il a réussi à concerver certaines valeurs comme l'intégrité, la franchise et la discrétion, fort heureusement dans son «métier» qui fait de lui un ami précieux. Côté amour, il y a bien sur ce rapport très spécial qu'il entretient avec sa seringue qui, toujours prête à usage, repose doucement dans la poche sur le coeur d'Enzo. C'est presque poétique, mais autrement, si on discute relations avec le genre humain, l'espagnol a un faible depuis son arrivée à Santorini sur la belle Lena Kostas. Il apprécie sa vivacité, sa bonne humeur et sa capacité de le mettre à l'aise. Ça ne lui était plus arrivé depuis des lustres de sentir aussi vivant, et ce, sans la came. Autrement, Enzo Cruz ne se change pas facilement, il côtoie pour noyer ses hormones de junkie Melody McKenzie de manière à ce que, une fois défoncé, il puisse s'envoyer en l'air avec la blonde. Lui qui préférait les blondes plus fatales et somptueuses, il n'y porte guère plus d'importance qu'un coup vite qui se répète souvent avec l'action d'appuyer sur la seringue pour s'injecter ce nectar des Dieux qu'il consomme depuis déjà un moment... S o m e _ q u e s t i o n sDéfinition du bonheur et de la liberté : La liberté est une notion qui lui est primordiale, vitale. Le jeune homme ne parvient pas à percevoir la vie sans cette possibilité pour lui d'aller n'importe où n'importe quand, et ce doit être la seule réticence de son travail d'«à côté» qu'il tient au point mort, pour ne pas s'effrayer. D'un autre côté, le bonheur s'associe directement avec la liberté, et Enzo le trouve au bout d'une aiguille pour le moment, planant doucement sous un voile qui berce les couleurs et aiguisent le moindre de ses sens. La liberté, c'est respirer un air que l'on choisit soi-même. Le bonheur, c'est la liberté idéale, car on le partage avec quelqu'un. Votre vie idéale : Contrairement à ce que l'on pourrait penser, ce n'est pas dans les drogues qu'il voit son monde idéal. Il serait le commentateur sportif le plus courru de la planète, et il suivrait avec une assiduité incongrue le basket et le foot, expliquant et décortiquant chaque choix, chaque décision prise par les dirigeants. Enzo serait éperdument amoureux d'une brunette gracieuse et fatale, de qui il retomberait follement épris à chaque fois qu'il poserait ses grands yeux sombres sur elle. Dans un futur plus ou moins éloigné, il se voit père. Eh ouais, mais pas un père junkie. Non non, un père aimant, fidèle, encourageant, amusant, facile d'approche et attachant. Le père idéal, quoi ? Votre type de soirée favori : Ça, ça dépend avec qui il la passe. Dépendamment de sa compagne (car soyez certains qu'il n'est accompagné pour des «soirées» digne de ce nom d'uniquement la gente féminine) et son humeur, une fête peut être beaucoup moins plaisante qu'un bon film avec un bon vin près de la cheminée, entouré d'une lourde couverture en fausse fourrure. Tout cela est très relatif. Votre genre d'homme et/ou de femme : Une belle brunette, avec de grands yeux brillants et une grâce, une volupté et une confiance en elle qui la fera ressembler à ces femmes fatales du 20e siècle dont il était épris, plus jeune. Elle serait évidemment intelligente, brillante, amusante, parviendrait à calmer son tempérament assez fort et aurait un caractère bien trempé. Ils pourraient s'engueuler, puis finir par un baiser fiévreux dominé par un désir qui n'aurait pas de fin. C'est un peu idéaliste, mais on dit que les Latinos ont le sang chaud. Lui, il l'a bouillant, et en plus, Enzo est difficile. La perle rare, il lui faudra la trouver. Histoire d'amour ou histoire d'un soir? : Il a passé la plupart de sa jeunesse à accumuler les conquêtes d'une soirée, mais a eu quelques relations sérieuses à l'occasion. Boisson alcoolisée favorité : La tequila mescale, et l'absinthe d'Amsterdam Contenu de votre sac à main / de vos poches : Son argent, un bon paquet, si vous voulez un commentaire, vu ses fréquents «à côté», son portable, ses clés de chambre d'hotels, un ou deux sachets (il planque le reste pour ne pas tout se faire prendre en cas de problème) et son porte bonheur, un vieux pendantif que lui avait offert sa mère. Un vice et une vertue : La luxure VS l'humilité G a m e _ m a s t e rPrénom | surnom : Gabriel "Gaby, l'Ange" Âge | sexe : 17 ans, masculin Présence sur le forum | sur sept jours : 7/7 sauf exception Commentaire | suggestion : Merci à Lena de m'avoir persuadé de m'inscrire & content de revoir ceux que je connais, dont Calista Célébrité sur l'avatar : Jesse Metcalfe Code : - Spoiler:
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Dernière édition par Enzo J. Cruz le Mer 9 Avr - 2:19, édité 1 fois | |
| | | Enzo J. Cruz [ DRUG | FAMOUS ] "La célébrité est notre mot d'ordre, la drogue notre passion"
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| Sujet: Re: Enzo Javier Cruz Mer 9 Avr - 2:18 | |
| Madrid, Espagne, il y a à peu près vingt-six ans Javier et Estrella Cruz vivait dans une misère qui venait de leur tomber dessus il y a quelques semaines à peine. L'usine où travaillait Javier avait du fermer ses portes à cause d'un immense feu qui la décima, à cause d'une sécheresse qui sévissait dans leur petit coin de pays depuis près d'un long mois. Il avait eu bien de la chance de ne pas faire parti des 100 travailleurs qui avaient péri durant l'incendie. Estrella, très croyante, lui posa sa main sur son ventre, dès qu'il passa la porte, et lui annonça que Dieu n'avait pas voulu que leur premier enfant soit élevé sans lui. Un miracle pour une femme qui, à 28 ans, n'avait jamais eu encore l'ombre de la maternité. Chez les siens, c'était incroyablement rare. Un miracle dans un si mauvais moment. Quelques sept mois plus tard, après évidemment neuf mois de grossesse, Enzo Javier Cruz vit le jour. La situation s'était à peine redressé, et Estrella gardait des petits pour subvenir au besoin de la famille tandis que Javier partait à l'aube et revenait bien après que le soleil fut couché, à faire des besognes par-ci par-là pour ramener du pain sur la table de sa petite famille.
Peu éduqué, Javier savait à peine écrire, et difficilement lire. Il avait toujours été un manuel. De son côté, Estrella était plus intellectuelle, et ramassait quelques sous pour les mettre de côté pour l'éducation de ses enfants. Alors qu'Enzo, tout petit, avait quatre ans, elle apprit qu'elle était de nouveau enceinte. Fête, et on célébra aussi gracement que possible vu les circonstances. Une bonne nouvelle ne vient jamais seule, et Javier décrocha un travail de manoeuvre pour la création de complexe immobiliers à quelques dizaines de kilomètres de Madrid. C'est ainsi que le petit Enzo, dont on ignorait s'il allait survivre, puisqu'il était mince et fin comme une feuille, bien qu'endurant à faire sa part pour ramener un maigre salaire pour subvenir à sa mère alitée, sa grossesse lui causant beaucoup de problèmes. Quatre ans, et sa famille sur les épaules. Son père avait trouvé d'autres chantiers, mais devait s'éloigner encore plus, envoyant désormais la quasi-totalité de ses revenus à sa femme et à son fils. C'est sans Javier qu'Estrella accouché prématurément d'Eulalie, la petite protégée d'Enzo.
À cinq ans, il commença l'école, mais passait le début de ses journées à faire des courses pour des vieilles dames, et restait parfois avec celles qui avaient besoin de compagnie et les moyens de s'en payer. En arrivant, le jeune homme mangeait et faisait quelques devoirs, puis berçait doucement Eulalie, si jolie avec ses grands yeux noisettes. Son père montait en grade légèrement, mais était toujours absent. Ils commencèrent à manger plus fréquemment de viandes et ce genre de choses qu'on néglige quand on est dans le besoin. À neuf ans, Estrella frôla la mort en mettant au monde son petit dernier, et fut mise en garde sur une grossesse qui pourrait la tuer. À dix ans, Enzo préférait largement traîner à regarder les plus vieux jouer au foot plutôt que de suivre assiduiement ses cours, non pas parce qu'il était idiot, mais que ça l'ennuyait. Impossible pour lui de demeurer longtemps sur place, lui qui travaillait comme l'homme de la maison pour sa mère, sa petite soeur et son petit frère. 12 ans, l'arrivée de Javier pendant une longue semaine justifia l'arrivée d'une paire de jumeaux, une fille et un garçon, les derniers des Cruz. Innombrabres, sa mère fragilisée considérablement par cette grossesse inopportuite, ce fut à nouveau à Enzo que revint le travail de s'occuper des petits, de mener les autres à la garderie, faire les courses, les devoirs et les mettre au lit, tandis qu'Estrella se remettait péniblement sur pieds.
Ce ne fut qu'à 15 ans, près de dix ans après son départ, que Javier Cruz retrouva une stabilité dans la région où il avait laissé ses 5 enfants derrière lui, mais avec suffisamment de nourriture pour subsister. Enzo, qui régnait en homme de la famille, le pilier central des Cruz, n'accepta pas facilement de laisser son trône à un homme qu'il connaissait à peine. Beaucoup de tensions se créèrent, car les plus jeunes, Dahlia et Elsandre, voyaient leur grand frère comme leur père, et Javier comme un étranger. Même Eulalie craignait cet homme grand et sombre, bien que généreux et honnête travailleur. Le seul qui semblait en être près était le troisième enfant d'Estrella, qui était constamment à prendre parti de son père pour monter dans son estime, puisqu'étant l'aîné, c'était un grand garçon robuste, musclé et en santé qu'on remarquait, et non pas le petit faible qu'il était. Les chicanes et les disputes se faisaient violentes, et plus à plus rapprochés. Le tempérament bouillant d'Enzo ne s'accomodait pas avec celui de son père, et à 17 ans, il prit la route des Amérique avec les sous qu'il mettait de côté depuis ses cinq ans, trois ou quatre sous par commission, mais qui lui permit de s'évader vers les États-Unis.
En arrivant à New-York, il fut rapidement accueilli par la communauté hispanique qui se fit un devoir de lui trouver un toit et un petit travail. À force de côtoyer les gens, il se trouva un parrain dans la personne d'O'Ratio Carris qui était à l'époque un homme influent dans le domaine de la télévision. On présenta à Enzo une flambée de gens oeuvrant dans ce domaine, et il se trouva un travail comme homme à tout faire. Côtoyant petites starlettes, il se lia avec certaines d'entre elles, se permettant même de partager leur couche une ou deux fois, et se plaisait dans cet univers surréaliste. Il y trouva même un certain réconfort quand l'une d'entre elle lui offrit quelques cachets. Enzo avait connu à son arrivée le cannabis, mais ceux-ci correspondaient à son sens de l'aventure et sa constante recherche d'adrénaline. Enchaînant les mentions et les soutiens, il rejoignit finalement le rang de grand commentateur sportif, effigie d'un réseau à 23 ans. Sa consommation de drogues, d'alcool et de filles n'avait de cesse qu'augmenter, mais il vivait désormais la belle vie. Enzo Cruz ne songea pas à sa famille pendant une bonne période, mais lui revint en tête des visions d'Eulalie qu'il pansa dans l'héroïne. Il avait 25 ans.
Désormais, il arrondit ses fins de mois en revendant une came de première qualité, car il possède un réseau de connaissances plus qu'impressionnants, côtoyant les gens devant et derrière la caméra avec l'aisance d'une star. Il possède un loft épatant, de l'argent de coté, un physique idéal et une intelligence troublante. Apres avoir passé cinq ans à se forger une carrière, Enzo Javier Cruz a décidé de prendre ses premières vacances de son boulot de rêve, mais ne laisse pas derrière ses petits à côtés. Il y a certainement quelques Grecs ou touristes qui ne se passent pas de ces plaisirs artificiels, n'est-ce pas ? | |
| | | Enzo J. Cruz [ DRUG | FAMOUS ] "La célébrité est notre mot d'ordre, la drogue notre passion"
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| Sujet: Re: Enzo Javier Cruz Mer 9 Avr - 2:19 | |
| J'ai terminé | |
| | | Calista Kaligaris [ SEXIEST |ADDICTED ] "Le mot 'parfait' nous définis le sex est notre mode de vie"
Nombre de messages : 289 Age : 32 [POSITION FAVORITE] : Ça se prévoit pas, ces trucs là... [PÉCHÉ CAPITAL] : Luxure [VICE] : Là, maintenant? Une bouteille géante de vodka. Date d'inscription : 24/03/2008
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| Sujet: Re: Enzo Javier Cruz Mer 9 Avr - 2:50 | |
| Han salut toi ^^ Superbe présentation, pas étonnant <3 Bon jeu ^^ VALIDE | |
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| Sujet: Re: Enzo Javier Cruz | |
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