>>La chance du débutant [A. Tucker]

[Désolé si c'est pas super, j'suis pas tellement doué pour commencer.]

Il était assez tard, il y avait bien un moment que le jeune homme avait vu le soleil se coucher et après s'être rempli la panse de délicieux plats grecques, dont une salade succulente et fraîche comme il ne s'en faisait pas aux États-Unis, le jeune homme avait décidé d'aller se balader après avoir passé aux toilettes et, comme à son habitude, s'envoyer une petite piquouse aussi simplement que certains allument leur énième cigarette de la journée. Suffisait de détacher sa ceinture, la serrer sur son bicep et attraper une veine, et le tour était joué. Une petite, mais qui lui suffirait pour tenir jusqu'à demain matin. Enzo n'avait pas eu le temps de se taper quoi que ce soit durant la journée, fort occupé à converser avec un touriste, une vedette de sport qu'il avait vainement entendu parler. Ce que ce dernier pouvait être barbant, mais Enzo, pour son poste, avait du être courtois, gentil et serviable, bien que la seule envie qu'il eut était de lui hurler de se la fermer et de le noyer dans l'eau cristalline des plages infinies qui se trouvaient sur l'Ile de Santorini.

Enzo avait dîné en tête à tête avec lui même, puis avait été prendre une douche. L'ambiance était humide, si près de la mer, et il avait l'impression d'être sale et collant. Un peu psychopate, sur les bords, il lui faut bien quelques caractéristiques de junkie, car apparemment et physiquement, rien ne laissait entendre une quelconque dépendance chez le jeune homme. Peut-être que cela venait du fait qu'il alternait les prises entre seringue et petite dose par voie nasale. Peu lui importait au fond. Décidant ensuite de prendre un chemin qu'il ne connaissait pas, particulièrement nombreux, vu qu'il était fraîchement débarqué, le jeune homme attrapa une voie cachée qui découlait sur Dieu sait où. Habillé d'un short gris et d'une camisole blanche, il sentait déjà l'humidité s'accrocher à lui, et retint une grimace. Un bruit agréable venait jusqu'à son oreille, et il tendit à se diriger vers un endroit qui le laissa pantois d'étonnement devant la beauté.

Une gigantesque cascade, bordée par une foule de végétation florissantes s'offrait sous les prunelles ébahis de l'étranger. N'osant pas faire un pas dans ce sentier plutôt abrupte pour un non-connaisseur, il balaya des yeux l'eau qui échouait contre de larges roches perçant la surface de l'eau, le clapotis agréable de l'eau et l'apparente ouverture béante derrière le drap fin d'eau devant lui. Faisant quelques pas maladroits, Enzo glissa sur une pierre mouillée par les goutelettes d'eau qui bondissaient jusque là, et sentit un craquement désagréable dans sa cheville.

«Merde !»

Enzo sentit un sentiment provoqué par l'héroïne, qui pansait la douleur d'une possible blessure qu'il s'était fait en trébuchant, mais songeait à la situation précaire. Certes, il avait bien son portable, mais qui rejoindre. Certainement pas Lena Kostas, sa seule connaissance qui pourrait connaître cet endroit. Crier? Plutôt mourir de honte. Le voilà mal barré, mais voyons ça positif. Au moins, il avait sa dose pour se calmer...

Andy qui venait de sortir d'une fête de chez un pote devait a présent faire le vide dans sa tête donc il décida d'aller sortir un peu du centre de Santorini. Il marcha sans même trop savoir ou il compter aller se poser pour pouvoir repenser aux choses qui lui tourner dans la tête. Ce n'etait pas des choses trop grave non plus, mais bon pour Andy aller faire le point et puis voila etre au calme dans un endroit super beau allez etre super bien pour lui. Il marcha toujours quand il s'arreta cinq minutes pour prendre sont packet de cigarette et puis en prit une. Il alluma la cigarrette puis fuma et remis sont packet dans sa poche de jean's tout en marchant en direction de la ou il ne savait pas. Andy s'enficher du temps qui ne se perdait pas c'etait pour lui le principal, et aussi tant que apres il puisse rentrer bien chez lui il était tranquille. Le temps commencer a être de plus en plus humide du a peut-etre d'une sorte de plage ou autre genre qui pourrait lui donner la sensation de fraicheur sur sont visage. Il n'aimait pas trop le temps humide de la ou il s'approcha, mais bon ce n'etait pas non plus la fin du monde pour Andy. Il arriva enfin devant une petite falaise ou la il vit au loin un petit passage qu'il pourrait prendre pour descendre et voir ce qu'il se trouver en bas de cette falaise a quelques minutes de Santorini. Il descendit quand même prudament pour éviter une chute car ce serait assez stupide de ça part tout de même. Et une fois arriver presque en bas de la falaise il rescentit de plus en plus du froid sur lui genre qu'il allait se retrouver devant un bassin ou autres contenant de l'eau. Andy arriva donc en bas et la il vit une magnifique cascade qui sortait de la roche. Il trouva cet endroit de toute beauté et il lui semblait même que c'etait le premiere endroit a Santorini qu'il trouva aussi beau. Il s'approcha de la chute de cascade ou la il appercut un homme allonger par terre devant la cascade entourer de belle végetations comme des fleurs de tout genres et autres petits arbres. Andy aimait bien parler avec des nouveaux gens donc il s'approcha de l'homme et lui dit d'un air tranquille et décontracter.

Salut ! Desolé de te deranger tu sais comment s'apelle cet endroit ?

Il n'avait trouver que se sujet pour pouvoir commencer la discution avec lui dans cette endroit qu'il trouva splendide et unique dans Santorini.

Le jeune homme massa doucement sa cheville, heureusement serrée et compressée dans son espadrille. Il grimaça en choississant de ne pas la sortir de là, de manière à ne pas la laisser enfler davantage que ce que permettait l'ouverture de la chaussure. S'accotant ensuite dos contre le gravier, il ne put qu'admirer à nouveau le paysage majestueux qui s'offrait sous ses yeux mi-inquiets, mi-ébahis. Même en Espagne, Enzo n'avait pas le souvenir d'avoir connu un endroit aussi paradiasiaque que celui-ci. Jamais. À New-York, hors de question, tout était fait de béton et d'asphalte, et pour trouver un espace vert, fallait passer dans un Central Park si bondé qu'il était noir de monde, et non vert de nature. Se redressant ensuite, de manière à recevoir quelques fines goutelettes d'eau qui s'évadait du cycle infernal de la cascade, jusqu'à ce qu'une voix porte jusqu'à ses oreilles. Passant la main dans ses cheveux, Enzo détourna la tête pour remarquer un jeune homme, un peu plus jeune peut-être, qui lui fit part de ses impressions semblables aux siennes. Le Latino lui sourit, puis répondit.

«Nan, tu me déranges pas.»

Comment connaissait-il cet endroit? C'était plutôt le fruit du hasard qui l'avait porté ici, avec ses pieds et la dose qui circulait dans ses veines. Rien de plus, rien de moins. Ne sachant trop que répondre au jeune homme, il ramena sa cheville vers lui et posa son regard sur l'eau qui s'écrasait contre les rochers, avec un clapotis perpétuel, mais reposant. Enzo y passerait des heures et des heures à songer, se calmer et reposer son esprit, loin d'une civilisation dégliguée et pervertie. Se rappelant la présence de son interlocuteur, il ajouta, en haussant les épaules.

«C'est le hasard, je dirais, je suis arrivé il y a quelques jours à peine ici, à Santorini.»

A présent que Andy avait commencer à parler avec l'homme de devant la cascade, il décida de rester un peu avec lui quand même pour pouvoir passer sont temps à penser de tout et de rien avec au moins sa compagnie. Il regarda autour de lui la beauté de ses lieux ou été aller lui aussi pas hazard comme l'homme qui venait de decouvrir. Apparament Andy aller croire qu'il fallait aller vers n'importes quels directions pour sans le savoir trouver a la fin du chemin un magnifique endroit ce qui metta encore le beau Andy surprit de la beauté de cette cascade qui jaillisser de la roche. Il rescentit sur sont visage quelques goutellettes d'eau mais cela ne lui dérange pas plus que ça. Andy décida tout de même de ne pas toujours rester debout à coté de l'homme qui lui été déja allonger en train de regarder la cascade. Il s'asseya à même le sol puis regarda a nouveau l'homme qui été maintenant vraiment a coté de Andy et lui dit en rigolant légerement.

Hey toi aussi tu est tomber là pas hazard ! Moi aussi !

Apparement cela ne déranger pas à l'homme installer devant la cascade que Andy reste avec lui un peu, genre il voulais peut-etre un peu de compagnie comme lui. Enfin, il prit donc dans sa poche de jean's sont packet de cigarrette et en prit une et l'alluma pour la fumer tranquillement devant ses lieux qu'il trouver splendide encore même si cela aller faire cinq minutes qu'il était devant. Il l'en proposa une à l'homme avant de ranger sont packet et puis de lui dire avec le sourire.

Tient une clope ! Sinon tu t'apelle comment toi ?

Enzo n'était pas un sauvage, il appréciait la compagnie et ne s'en cachait pas. Compagnie ne veut pas nécessairement dire une sublime jeune femme, mais également des gens simplement sympathique sans autres arrières-pensées. La superficialité, l'Espagnol n'avait tout simplement pas le droit d'en avoir. Pas après avoir eu un début de vie si simple, à la limite de la pauvreté, où il avait plus de responsabilités que ce qu'aura dans une vie les héritiers dorés qu'il rencontre depuis son arrivée aux États-Unis. On ne peut pas dire qu'il n'apprécie pas les bonnes choses, les belles choses, mais il ne se limitait pas l'esprit à des critères si stupides que la beauté et la perfection. Non, si quelqu'un se savait imparfait, c'était bien le jeune homme en vacances à Santorini, avec sa cargaison de came et un commerce florissant...

«Faut croire que cet endroit aime se faire découvrir»

Il sourit au jeune homme, puis regarda à nouveau la cascade. Tout était aussi parfait que la première fois où il était tombé à cet endroit, quand sa cheville s'était tordue en marchant sur une racine. Sa cheville, bon Dieu, s'il n'avait pas ce shoot dans les veines, sans doute souffrirait-il un peu, et Enzo remerciait silencieusement l'héro de panser cette blessure avec ce voile qu'il commençait à ne plus pouvoir se passer. Puis, le garçon l'interpela, en lui tendant une cigarette. Le brun n'était pas particulièrement porté sur ce minuscule bâton, mais en accepta de bonne grâce et remercia le jeune homme du regard, sortant du feu de sa poche et allumant en deux temps trois mouvements, puis dit.

«Enzo Cruz, commentateur sportif en vacances.»

Il porta la cigarette entre ses lèvres, puis tendit la main à son interlocuteur.

L'homme qui été tomber au même endroit que Andy était la comme par hazard car même lui ne le connaisser pas, il le regarda et fuma un peu de sa cigarette. Enfin, il vit que Enzo, car oui maintenant Andy savait sont prénom, donc, il vit Enzo prendre la cigarette qu'il lui tendait avec gentillesse et puis pour lui faire genre plaisir pour un peu plus familiariser avec lui. Andy avait remarquer que apres la cigarette accepter par Enzo et lui tendit la main. Comme reflex il lui tenda la sienne et firent le serrage d'hommes qui voulait signifier qu'il se diser bonjour ou bien pourquoi pas enchanté genre. Enfin bref, une fois cela fait il savait qu'il était présentateur sportif ce qu'il trouva trop exellent car Andy aime beaucoup ça le sport et voila, il aurais aimer faire se metier avec plaisir. Mais bon non, Andy a terminer par faire barman au club de Santorini le "Diamant", ce qu'il aime de plus en plus. Vus que Enzo ne lui avait pas reposer sa question pour le connaittre un peu plus, Andy lui dit sont prenom avec aussi sont travail qu'il fesait pour que Enzo sache un peu plus de choses sur lui. Il mit sa cigarette a la main avant de lui dire tout en regarda la cascade.

Okay ! Moi c'est Andy, barman au club le "Diamant" au centre ville de Santorini !...

Évidemment, avec un endroit pareil camouflé sur l'Ile de Santorini, Enzo Cruz n'avait que plus envie de découvrir les secrets de l'archipel aux merveilles, et si Lena Kostas voulait bien l'y aider, il serait doublement comblé. Le jeune homme réprima un sourire, vu qu'il ne parvenait pas à ne pas associer pendant une quinzaine de minutes la jeune femme à quelque chose qu'il voyait, qu'il sentait ou encore qu'il regardait. C'était idiot, mais s'il y aurait cru, Enzo aurait pu imaginer parfaitement ce sentiment comme étant le coup de foudre que l'on entendait parler à la télévision ou dans les créations Made in Hollywood. Pourtant, il décida de ne pas s'éterniser sur le sujet et se concentra sur son interlocuteur tout en tirant une taffe de la cigarette.

La fumée se dispersa dans ses poumons, le calmant d'emblée. Passant la main sur sa cheville qui ne semblait pas enflée, ce qui était bon signe, le jeune homme releva la tête vers le jeune homme, et écouta par-dessus les clapotis de la cascade les mots qu'il lui lança. Après s'être serrer la main comme les deux hommes qu'ils sont, Enzo fut amusé d'entendre qu'il était barman au Diamant. Cela voulait dire que le jeune homme -désormais connu par l'Espagnol sous le nom d'Andy Tucker- résidait sur l'Ile. Il l'envia presque, Santorini était réellement paradisiaque.

«Tu en as de la chance, vivre ici à longueur d'année, ça ne doit pas être trop pénible...»

Il lui sourit, puis tira une nouvelle bouffée de sa cigarette. Une longue, longue bouffée, puis l'expira par le nez. Enzo ajouta.

«Je ne me plains pas de New-York, au contraire, mais quand même.»

Andy qui été en train de fumer tout comme Enzo le jeune beau espagnol qui était présentateur sportif parler tout deux devant la merveilleuse vus qu'ils avaient devant eux. Cette endroit Andy le trouva toujours aussi beau et cela allez être sont endroit ou il allait aller à chaques moments de déprimes et aussi autres si besoin de calme. Ce petit endroit paradisiaque était calme, beau et sans polution. Cette endroit était à environ 15 minutes du centre de Santorini, mais jamais Andy aurait pu se douter qu'il y avait des endroits aussi splendide ici même ou il c'est quand même installer depuis 2 mois a présent. En 2 mois c'est vrais qu'il aurait pu découvrir pleins de beaux endroits de se genre dans Santorini, mais entre boulot, filles et tout ça il ne pensa pas à aller en dehors de la ville. Enfin, Andy avait bien de la chance d'habiter ici comme lui disait Enzo, c'est bien vrai car c'est super la-bas et les gens sont extra sympathique et ont un grand coeur. Peut-etre pas tous mais en tout cas tout les gens que Andy avait rencontrer sur Santorini lui on bien parler, et non pas l'on envoyer balader. Il entendit dire Enzo que New-York lui manquer, donc vite fait il lui est venu a l'esprit de se dire qu'il venait donc des Etat-Unis. Andy adorer énormement les Etat-Unis, il trouva cela extra cool et voila aller la-bas c'est comme genre un rêve depuis longtemps, car jamais à eu la possibilité d'aller la-bas et n'a pas trop quitter l'Europe. Il regarda donc Enzo qui été encore à coté de lui et lui dit tout simplement avec sourire.

Pourquoi tu habite pas ici à Santorini alors ?!

Il rigola mais diser quand même cela dans le serieux car pour lui cette découverte par hazard de Enzo aller peut-etre si il habite ici, pourquoi pas creer un lien d'amitié.

Tirant une longue bouffée de ce bâton cancérigène, Enzo Cruz regarda la fumée sortir d'entre ses lèvres à peine entrouvertes et s'envoler entre les feuilles d'un arbre tout près, comme si le vent la portait là, simplement. Son regard oscillant entre la cascade et Andy, dont il connaissait désormais l'identité, il laissa la cigarette entre ses lèvres, puis ne put s'empêcher de marmonner quelque chose à propos de New-York. Ah, la Grosse Pomme. C'était un super endroit, quand on aime le style béton/asphalte, mais pour l'Espagnol qui venait de la campagne et du grand air, c'était parfois étouffant. Pour commencer une carrière, cependant, il n'y a rien de mieux.

Reposant son regard sur le jeune homme, Enzo s'amusa à tenter de se rappeler s'il l'avait croisé au Diamant. C'était difficile, puisque ne le connaissant pas précédemment, sans doute n'avait-il pas fait suffisamment fait attention pour en avoir le souvenir. Ce dernier lui demanda pourquoi ne restait-il pas à Santorini, s'il l'enviait de pouvoir vivre sur cette superbe ile. Enzo trouva la question pertinente, et y réfléchit quelques instants. Souriant à son interlocuteur, il répondit finalement.

«J'ai fui un endroit comme ça, il y a quelques années..»

Balayant ensuite les alentours du regard, il ajouta.

«Et Santorini ravive de vieux souvenirs, et en créé de nouveaux qui sont excellents...»

Andy avait bientot terminer de fumer cette petite cigarette qu'il avait pris pour se détendre un peu aupres de cette cascade et de sa découverte humaine qui était Enzo. Tout deux étaient en train de se détruire les poumons mais bon ce n'etait pas grave car pour Andy il devra bien mourir un jours, alors à cause de la cigarrette ou autres cela etait exactement pareil pour lui. Il entendu dire par Enzo, qui était toujours avec la cigarrette à la main, qu'il avait genre fui un endroit du même genre que cette paradisiaque ile qui était celle de Santorini. Il ne savait pas à cause de quel raison et de toute façon cela ne lui interressait pas trop. Enfin bref, Andy lui avait poser une question en lui disant qu'il pourrait habiter ici à Santorini, si il se sentait bien et que si il avait fait des rencontres déja superbes, cela aller être peut-etre dur pour lui de quitter cette ile pour retourner dans une grande ville de béton qui est New-York. Donc, Enzo lui dit en gros qu'il ne savait pas encore mais dans les deux cas Andy esperait qu'il soit bien dans l'endroit qu'il allait choisir par la suite. Andy lui dit ça pour cause de pas savoir quoi dire d'autre en lui souriant et en jetant sa fin de cigarrette.

Et bien mon pote Enzo ! à toi de choisir dans quel endroit tu veux aller ?!

C'est vrai que dans cette question un peu nul de Andy, il voulait en quelque sorte lui dire de choisir de rester à Santorini ou bien apres ses vacances de retourner dans la grande ville de New-York au Etat-Unis.

Tout comme celle de son interlocuteur, la cigarette tirait à sa fin, et ce n'était pas le genre d'Enzo de se rendre jusqu'au filtre pour ne pas manquer cette saveur âcre qui lui collait aux lèvres. Il éteignit le mégot entre ses doigts et attendit que ce dernier soit tiède pour le mettre dans ses poches de blouson. Pas question qu'il ne salisse cet endroit avec une cochonnerie pareille. C'est vrai, comparé à un cigare cubain, un délectable Monte Carlo, ça n'avait rien à voir. Le tabac contenu dans ce bâton frêle et pâle était léger et volubile comparé a celui du cigare. De ça, le premier né Cruz ne pouvait se passer. Il se mordait les doigts de ne pas en avoir traîner avec lui, et cherchait encore quelqu'un qui en possédait. À croire qu'il était le seul à les apprécier à leur juste valeur...

Enzo s'étonna de la facilité déconcertante qu'il avait ici, à Santorini, à parler de son passé. C'était un peu comme s'il revenait à Madrid, mais sans possibilité de croiser Javier ou Estrella, et encore moins Eulalie Cruz, sa jolie protégée. Il parlait d'eux parfois indirectement, comme précédemment avec Andy, ou encore franchement, comme avec Lena. La merveilleuse, la sublime Lena Kostas. Le jeune homme se demanda si Andy la connaissait, mais voyait mal comment justifier une question à son égart. Surtout, l'Espagnol craignait la réponse du barman. Il était beau garçon, peut-être l'avait-il déjà charmé. Enzo aurait été sans voix, et bon, peut-être une pique de jalousie. Écoutant les paroles le hissant hors de ses pensées de son interlocuteur, il sourit en répondant.

«Disons que j'ai encore trois semaines devant moi pour y penser»

Il se redressa, puis ne put s'empêcher de demander.

«Tu connaîtrais pas Lena Kostas, par hasard ?»

Andy qui regarda faire Enzo écraser sont megot de cigarette à la main, ne pus s'empecher de faire un large sourire cela lui fit bizarre qu'il fasse cela mais bon si il ne voulais pas abimer ce trés bel endroit il avait bien fait. Andy lui l'avait jeter loin derriere lui mais bon sa n'allait quand même pas être la fin du monde, enfin il remarqua que Enzo, le jeune espagnol assis à coté de lui devant ce merveilleux endroit, fesait de temps en temps des mouvements de la tête genre qu'il avait un toc, ou bien qu'il avait prit des substances illicite. Andy qui remarqua trés bien les choses avec les gens a qui il parler remarqua aussi qu'il se toucha la cheville. Il ne comprennait pas trop pourquoi Enzo se toucha la cheville, ni pourquoi il fesait parfois des mouvements de la tête mais en tout cas il se posa des questions du genre si il avait sans faire expres fait une chute en descendant dans cette endroit, car quand même Andy avait été assez prudent pour descendre car le chemin était super difficile à prendre. Si il avait consommer des substances cela lui fit peut-etre pas sentir la douleur qu'il avait sur sa cheville si comme le penser Andy. Alors il le regarda avant de lui dire serieusement si il avait quelques choses à la cheville, car si cela était grave il fallait qu'il le montre a tout prit à un medecin. Il ne reponda meme pas à la question que Enzo lui avait posait auparavant par rapport a Lena, qu'il ne connaissait pas enfin oui peut-etre l'avait il apperçut au club la ou il travaillait mais sans plus.

Enzo tu a mal à ta cheville ?! Tu est tomber en descendant ici ?

Il s'occupa d'Enzo comme d'un frere, meme si ils se connaissaient à peine depuis une vingtaines de minutes. Mais bon Andy aimait rendre services aux autres qui en avait besoin. Il attenda alors la reponse de l'espagnol Enzo pour pouvoir ce rassurer si Andy ne s'inquieter pour rien par rapport à sa chute.

Est-ce l'ile de Santorini qui faisait jaillir d'Enzo Javier Cruz un côté écologique qu'il ne se connaissait pas ? Peut-être, le principal concerné en ignorait la raison, mais ça avait été hors de sa compréhension de balancer son mégot dans l'eau, un peu plus bas, ou dans la verdure à ses pieds. Incroyable, le voilà avec une conscience verte. L'Espagnol se demanda si la Grèce ferait ressortir d'autres facettes qu'il ignorait de sa personnalité, tout en en connaissant au moins une: la possibilité d'avoir le coup de foudre. La concernée? L'entrepreneure locale Lena Kostas. Lui même se trouvait lassant, mais elle ne quittait guère longtemps ses pensées, depuis qu'ils avaient passés une nuit ensemble, lors de leur première rencontre. Le second sur le yacht de la jeune femme n'avait rien fait pour faire changer les choses. Enzo passa la main dans ses cheveux, puis se recentra sur la réalité ou encore le moment présent, relevant la tête pour voir Andy Tucker lancer son propre mégot un peu plus loin. Ce n'était pas son credo, et il n'était pas devenu Green Peace, alors il se contenta de faire quelques mouvements circulaires avec sa cheville.

Il ne sentait rien, simplement un léger picotement dans le bout des orteils, comme chaque fois que l'héroïne se dissipait. À voir son pied, et pour avoir soigner quelques blessures bénignes des siens, Enzo ne nota aucune enflure et la cheville ne bleuissait pas. Sans doute plus de peur que de mal, mais ne sait-on jamais. Étonnamment, l'Espagnol n'attendait pas de réponse à sa question saugrenue. Il se prenait pour qui, son petit-ami. Être seul, il se serait peut-être balancer un coup sur la tête, pour se remettre les idées en place. Pas de crainte, l'est pas maso, simplement a en horreur d'être stupide.

«Ah ça, je crois que ça va, je me ferai un bandage à l'hôtel, par précaution.»

Il fut touché de la considération de son interlocuteur, et déduit qu'Andy était le genre d'ami attentionné et prêt à tout ou presque pour rendre service. Enzo lui adressa un sourire réconfortant, puis se redressant en se tenant sur le rocher large à sa droite, et s'appuya doucement sur sa cheville malmenée, rien de spécial à noter, sauf ce picotement.

Andy compris donc bien que Enzo, le jeune espagnol avait fait une petite glissade sur un rocher en descendant dans ce petit endroit magnifique de Santorini. Enzo se toucha de temps en temps la cheville pour voir si il ne ressenter pas de douleur trop intense et apparament il dit à Andy qu'il n'y avait aucuns problemes. D'un coté il était rassurer puis Andy le regarda avant de lui dire avec sourire.

Ok ! ça va alors, mais si cela s'agrave appelle moi à ce numero !

Il était un peu rassurer quand même, quand Enzo lui dit que une fois rentrer a l'hotel il allait se mettre un bandage et tout ça quoi. Andy pour se rassurer un peu plus personnellement il prit sont portable de la poche puis regarda sont numero de telephone, car oui il ne le connaissait pas encore par coeur. Donc il regarda sont numero et lui donna puis le rangea une fois le numero transmit à Enzo. Il se posa une question quand même, car si Enzo avait consommer des substances illicites cela pourrais ne pas lui faire sentir la douleur et pourquoi pas apres que l'effet de la drogues partent Enzo et une blessure plus grave que celle que lui penser au debut à une petite chute de rien du tout. Andy s'inquieta quand même car sans meme le connaitre, cela ne se fesait pas de sa part de le laissait comme ça sans nouvelle et autres. De toute façon il comptais bien aller jusqu'a sont hotel pour lui meme verifier la blessure et puis apres voir de lui meme si Enzo n'avait vraiment rien a sa cheville.

[Désolé du retard!]

Eh ouais, fallait qu'Enzo Cruz pour faire une chute à pic, mais s'en tirer indemne. Du moins, le croyait-il. Le jeune homme regarderait ça à froid ce soir, dans sa chambre d'hôtel. Sans avoir les bases de médecine, il avait suffisamment vu de soigneurs sportifs pour savoir comment réagir. Voilà donc la raison de son intuition de ne pas desserrer sa chaussure. Tant pis, il en avait vu d'autres. Cela l'amusa et le toucha à la fois qu'Andy s'inquiète sincèrement pour lui. Ça lui rappelait un de ces vieux copains à Madrid, qui avait deux ans de plus que lui, et qui le protégeait comme un grand frère est sensé le faire. C'est ainsi que l'Espagnol avait commencé à protéger les siens, surtout sa petite préférée...

«Tiens, tu as médecine comme talent caché?»

dit-il, amusé.

Il ne se moquait pas le moins du monde du jeune homme, mais la situation était cocasse. Il ne s'était plus fait protéger depuis... depuis des lustres. Enzo attendit patiemment qu'Andy lui tende son numéro, mais ne put ravaler un éclat de rire léger quand ce dernier dut regarder son portable pour l'écrire, puis prit le numéro que le jeune homme lui tendit. Se redressant, Enzo prit l'initiative de remonter au niveau de son interlocuteur, et aucune douleur apparente. Seulement quelques picotements, mais rien de sérieux. Il fit quelques pas timides, puis dit.

«Tu as des merveilles de Santorini à me faire découvrir, dis?»

» Andy Tucker __* [FiNiSH]